Amendement N° 21 rectifié (Rejeté)

Organisation et transformation du système de santé

Discuté en séance le 7 juin 2019
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : 172 172 )

Déposé le 3 juin 2019 par : M. Segouin, Mme Eustache-Brinio, MM. Lefèvre, Brisson, Mme Bonfanti-Dossat, M. Longuet, Mme Morhet-Richaud, MM. Revet, Morisset, Mme Deromedi, MM. Babary, Genest, Perrin, Raison, Poniatowski, Meurant, Mandelli, Mme Chauvin, MM. Bonne, Laménie, Pellevat, Pierre, Rapin, Cuypers, Bernard Fournier, Mmes Canayer, Lamure, de Cidrac, M. Gremillet.

Photo de Vincent Segouin Photo de Jacqueline Eustache-Brinio Photo de Antoine Lefèvre Photo de Max Brisson Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Gérard Longuet Photo de Patricia Morhet-Richaud Photo de Charles Revet Photo de Jean-Marie Morisset Photo de Jacky Deromedi Photo de Serge Babary Photo de Jacques Genest Photo de Cédric Perrin Photo de Michel Raison 
Photo de Ladislas Poniatowski Photo de Sébastien Meurant Photo de Didier Mandelli Photo de Marie-Christine Chauvin Photo de Bernard Bonne Photo de Marc Laménie Photo de Cyril Pellevat Photo de Jackie Pierre Photo de Jean-François Rapin Photo de Pierre Cuypers Photo de Bernard Fournier Photo de Agnès Canayer Photo de Élisabeth Lamure Photo de Marta de Cidrac Photo de Daniel Gremillet 

Alinéa 3

Compléter cet alinéa par une phrase ainsi rédigée :

Les besoins territoriaux de formation sont inscrits dans les conventions que les universités passent avec les établissements de santé, publics et privés.

Exposé Sommaire :

Le présent amendement, de permettre aux établissements de santé privés de conventionner avec les universités pour mettre à disposition leur expertise et leur savoir-faire médical et chirurgical dans le cadre des formations des étudiants.

La lutte contre les déserts médicaux, l’égal accès aux soins, et notamment l’accès à une offre médicale équilibrée et de qualité sur l’ensemble des territoires, constitue l’un des principaux enjeux de la transformation de notre système de santé. La suppression du numérus clausus national au profit d’une régulation territoriale devrait permettre de répondre d’une manière mieux ajustée aux futurs besoins en santé de la population.

Mais tous les acteurs de santé doivent être mobilisés autour de cet enjeu, tant sur la réduction des inégalités d’accès aux soins que sur l’insertion professionnelle des étudiants. C’est pourquoi il est nécessaire que les établissements de santé privés participent eux aussi à cet objectif commun.

Une meilleure connaissance par les futurs médecins de l’ensemble des environnements de soins, publics comme privés, améliorera l’efficience du système et favorisera les coopérations et les équilibres sur les territoires.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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