Amendement N° 1683 (Irrecevable)

Convocation du parlement en session extraordinaire

Avis de la Commission : art. 45

Déposé le 10 juin 2021 par : MM. Temal, Devinaz, Jacquin, Mme Martine Filleul, MM. Joël Bigot, Montaugé, Mme Briquet, M. Kanner, Mme Bonnefoy, MM. Dagbert, Gillé, Houllegatte, Mmes Préville, Artigalas, Blatrix Contat, MM. Bouad, Cardon, Mérillou, Michau, Pla, Redon-Sarrazy, Tissot, les membres du groupe Socialiste, Écologiste, Républicain.

Photo de Rachid Temal Photo de Gilbert-Luc Devinaz Photo de Olivier Jacquin Photo de Martine Filleul Photo de Joël Bigot Photo de Franck Montaugé Photo de Isabelle Briquet Photo de Patrick Kanner Photo de Nicole Bonnefoy Photo de Michel Dagbert Photo de Hervé Gillé 
Photo de Jean-Michel Houllegatte Photo de Angèle Préville Photo de Viviane Artigalas Photo de Florence Blatrix Contat Photo de Denis Bouad Photo de Rémi Cardon Photo de Serge Merillou Photo de Jean-Jacques Michau Photo de Sebastien Pla Photo de Christian Redon-Sarrazy Photo de Jean-Claude Tissot 

Après l’article 36

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Le Gouvernement remet avant la fin de l’année 2021 au Parlement un rapport sur la maitrise de l’exposition des populations aux nuisances aériennes la nuit (22h-6h) aux abords de la plateforme aéroportuaire de Paris Charles de Gaulle.

Le rapport dresse un bilan des actions engagées par l’État, les compagnies aériennes, le groupe Aéroport de Paris et les acteurs aéroportuaires en vue de la réduction de ces nuisances, et propose un plan d’actions pour l’amplifier.

Ce rapport retrace également le produit annuel de la taxe sur les nuisances sonores aériennes et l’utilisation de cette ressource au bénéfice des riverains éligibles aux travaux d’isolation sonore des logements.

Exposé Sommaire :

Les nuisances liées aux activités aériennes est une composante importante de santé environnementale pour les riverains des plateformes aéroportuaires. La réduction de la pollution sonore participe à l’amélioration de la qualité de vie des riverains, particulièrement à la qualité du sommeil de ces derniers.

Santé Publique France a mis en lumière que la pollution chronique de l’air contribue déjà aux maladies respiratoires, cardiovasculaires, et aux pathologies cancérigènes. En 2019, l’observatoire BruitParif montrait, lui, étude à l’appui, que ce sont jusqu’à plus de trois années de vie en bonne santé qui sont perdues pour celles et ceux qui vivent sous les couloirs aériens, en raison notamment des troubles du sommeil et de l’augmentation des risques cardio-vasculaires.

Cet amendement vise à demander au Gouvernement de présenter les actions mises en œuvre pour traiter de ce problème.

Déclaré irrecevable au titre de l'article 45, alinéa 1, de la Constitution par la commission saisie au fond

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