Amendement N° 1685 (Rejeté)

Convocation du parlement en session extraordinaire

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable

Déposé le 10 juin 2021 par : MM. Michau, Jacquin, Dagbert, Todeschini, Joël Bigot, Montaugé, Kanner, Mme Bonnefoy, M. Devinaz, Mme Martine Filleul, MM. Gillé, Houllegatte, Mmes Préville, Artigalas, Blatrix Contat, MM. Bouad, Cardon, Mérillou, Pla, Redon-Sarrazy, Tissot, les membres du groupe Socialiste, Écologiste, Républicain.

Photo de Jean-Jacques Michau Photo de Olivier Jacquin Photo de Michel Dagbert Photo de Jean-Marc Todeschini Photo de Joël Bigot Photo de Franck Montaugé Photo de Patrick Kanner Photo de Nicole Bonnefoy Photo de Gilbert-Luc Devinaz Photo de Martine Filleul 
Photo de Hervé Gillé Photo de Jean-Michel Houllegatte Photo de Angèle Préville Photo de Viviane Artigalas Photo de Florence Blatrix Contat Photo de Denis Bouad Photo de Rémi Cardon Photo de Serge Merillou Photo de Sebastien Pla Photo de Christian Redon-Sarrazy Photo de Jean-Claude Tissot 

Alinéa 8

Après le mot :

biocarburants

insérer les mots :

, au secteur des services de l’automobile

Exposé Sommaire :

Le présent amendement vise à instaurer une aide pour les entreprises des services de l’automobile pour qu’elles puissent s’adapter à cette transition.

Si l’objectif de 2030 fixé par cet article 25 permet aux constructeurs et industriels de visualiser une trajectoire claire qui dynamisera le marché des véhicules à faibles émissions et permettra d’anticiper l’objectif Européen à 2040, il n’en est pas de même pour les professionnels de la réparation. Ces derniers vont devoir s’adapter très rapidement non seulement à un parc de véhicules thermiques vieillissant mais aussi à l’arrivée de nouvelles énergies et avec elles, de nouvelles technologies.

Certes, le Président de la République a annoncé un plan de relance du secteur automobile au sortir du 1er confinement de 2020, mais les grands oubliés de ces annonces, sont les services de l’après‐vente.

Or, ces véhicules une fois sur le marché devront être entretenus et réparés de manière optimale par l’après‐ vente afin de conserver leur performance environnementale et préserver la sécurité.

Dès lors la digitalisation et la modernisation de ces entreprises, nécessaires pour effectuer ces opérations sur des véhicules ultra‐connectés, devient un enjeu majeur, sachant que 95% d’entre elles sont des TPE. Il est par conséquent nécessaire d’instaurer une aide pour toutes ces entreprises oubliées qui ont la nécessité de se former au numérique pour répondre aux besoins de l’après‐vente des véhicules électriques.

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