Amendement N° 527 rectifié (Retiré)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Demande de retrait
( amendement identique : )

Déposé le 8 novembre 2021 par : Mme Rossignol, M. Bourgi, Mmes Jasmin, Poumirol, Van Heghe, M. Patrice Joly, Mme Meunier, M. Leconte, Mme Blatrix Contat, M. Redon-Sarrazy, Mmes Conway-Mouret, Monier, MM. Tissot, Cardon, Temal, Mmes Conconne, Féret, Carlotti, M. Cozic, Mme Martine Filleul, M. Antiste, Mme Le Houerou.

Photo de Laurence Rossignol Photo de Hussein Bourgi Photo de Victoire Jasmin Photo de Émilienne Poumirol Photo de Sabine Van Heghe Photo de Patrice Joly Photo de Michelle Meunier Photo de Jean-Yves Leconte Photo de Florence Blatrix Contat Photo de Christian Redon-Sarrazy Photo de Hélène Conway-Mouret 
Photo de Marie-Pierre Monier Photo de Jean-Claude Tissot Photo de Rémi Cardon Photo de Rachid Temal Photo de Catherine Conconne Photo de Corinne Feret Photo de Marie-Arlette Carlotti Photo de Thierry Cozic Photo de Martine Filleul Photo de Maurice Antiste Photo de Annie Le Houerou 

Compléter cet article par un alinéa ainsi rédigé :

…. – Dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la présente loi, le Gouvernement remet au Parlement un rapport sur l’opportunité d’étendre le remboursement des préservatifs masculins et leur prescription par les médecins et sages-femmes aux préservatifs féminins.

Exposé Sommaire :

Cet amendement est inspiré d'une recommandation portée par le Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, dans son avis du 16 avril 2021 intitulé “Préservatif féminin : Vers un remboursement intégral pour une plus grande utilisation”. Il vise à proposer au Gouvernement de présenter devant le Parlement un rapport sur l’opportunité de rembourser les préservatifs féminins à hauteur de 60% comme les préservatifs masculins.

Au contraire du préservatif masculin, largement promu, distribué, et aujourd’hui dont certains sont remboursés sur ordonnance, le préservatif féminin, méconnu, se vend à des tarifs entre 3 et 15 fois plus élevés. S’il est vendu sans ordonnance dans certaines pharmacies, il demeure onéreux et difficile à trouver. Prévoir une possibilité de se faire prescrire ces préservatifs par les médecins et sages-femmes serait bénéfique.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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