Amendement N° 179 rectifié (Rejeté)

Démocratisation du sport

Discuté en séance le 18 janvier 2022
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendement identique : )

Déposé le 18 janvier 2022 par : Mme Belrhiti, MM. Paccaud, Cambon, Mme Muller-Bronn, MM. Piednoir, Anglars, Bansard, Sido, Hingray, Husson, Bonhomme, Chauvet, Mme Raimond-Pavero, M. Saury.

Photo de Catherine Belrhiti Photo de Olivier Paccaud Photo de Christian Cambon Photo de Laurence Muller-Bronn Photo de Stéphane Piednoir Photo de Jean-Claude Anglars Photo de Jean-Pierre Bansard Photo de Bruno Sido Photo de Jean Hingray Photo de Jean-François Husson Photo de François Bonhomme Photo de Patrick Chauvet Photo de Isabelle Raimond-Pavero Photo de Hugues Saury 

I. – Alinéa 2

Rédiger ainsi cet alinéa :

1° Au premier alinéa, les mots : « atteints d’une affection de longue durée » sont supprimés, le mot : « traitant » est remplacé par les mots : « intervenant dans la prise en charge » et les mots : « à la pathologie » sont remplacés par les mots : « aux pathologies physiques et psychologiques » ;

II. – Alinéa 5

Supprimer cet alinéa.

Exposé Sommaire :

Cet amendement a pour objet de rédiger l'article 1er bis en faisant en sorte que la prescription d’activité physique adaptée (APA) ne soit plus limitée aux affections de longue durée.

Il propose ainsi d’ouvrir la prescription du sport santé à un public plus large, comprenant les patients atteints de pathologies physiques mais aussi psychologiques.

Bien que de nombreuses maladies ne soient pas reconnues comme des maladies chroniques ou affections de longue durée, des patients peuvent avoir besoin d'une prescription d’activité physique adaptée, en accord avec leur médecin. C'est le cas des personnes atteintes de dépression.

Sans constituer un remède miracle, il est reconnu que l'activité physique est un moyen concourant à soigner les troubles anxieux, les troubles psychiques ou les dépressions, en complément ou en remplacement de médicaments spécifiques. L'expérience des confinements depuis le début de la crise sanitaire a renforcé encore cette prise de conscience en mettant en avant un lien évident entre les dépressions et le manque d'activité physique et la sédentarité.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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