Amendement N° 42 (Rejeté)

Gestion de la crise sanitaire

Discuté en séance le 15 janvier 2022
Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable

Déposé le 15 janvier 2022 par : Mme Drexler, M. Houpert, Mmes Muller-Bronn, Micouleau, MM. Reichardt, Kern, Mmes Belrhiti, Berthet, MM. Bascher, Gremillet, Mme Lopez, M. Jean-Marc Boyer, Mme Pluchet, MM. Cédric Vial, Klinger, Étienne Blanc, Bacci, Joyandet.

Photo de Sabine Drexler Photo de Alain Houpert Photo de Laurence Muller-Bronn Photo de Brigitte Micouleau Photo de André Reichardt Photo de Claude Kern Photo de Catherine Belrhiti Photo de Martine Berthet Photo de Jérôme Bascher 
Photo de Daniel Gremillet Photo de Vivette Lopez Photo de Jean-Marc Boyer Photo de Kristina Pluchet Photo de Cédric Vial Photo de Christian Klinger Photo de Étienne Blanc Photo de Jean Bacci Photo de Alain Joyandet 

Alinéa 10

Compléter cet alinéa par les mots :

, soit d'une sérologie positive supérieure à un certain seuil, fixé par décret, pendant quatre-vingt-dix jours renouvelables sur présentation d'un nouveau test sérologique positif

Exposé Sommaire :

L’immunité naturelle offre une meilleure garantir de protection contre le virus que celle découlant de la vaccination car elle offre une protection plus large et efficace que celle générée par la vaccination actuellement disponible sur le marché.

A l’instar du dispositif mis en place en Suisse, il s’agit de permettre à nos concitoyens qui ont eus la Covid-19 et bénéficient d’une sérologie qui montre qu’ils ont développé une immunité innée (qu’on peut estimer à plus de 100 BAU/ml) de bénéficier du passe sanitaire et vaccinal pendant 90 jours renouvelables sur présentation d’un nouveau test sérologique attestant que ce taux reste élevé.

De plus en plus de scientifiques (infectiologues, virologues, biologistes cellulaires) s’élèvent contre cette vaccination inappropriée qui entraîne, chez ces personnes ayant déjà eu la Covid-19, une augmentation considérable des risques de développer des effets indésirables majeurs.

Même s’il existe plusieurs types d’anticorps qui n’ont pas tous la même fonction, aujourd’hui la balance bénéfice/risque de la vaccination va être de plus en plus défavorable. L’Agence Européenne du Médicament l’a d’ailleurs reconnu cette semaine en appelant à "ne pas surcharger le système immunitaire par des vaccinations répétées".

Les auteurs pensent qu’en l’état il faut appliquer le principe de précaution et ne pas prendre le risque d’exposer cette catégorie de personnes à des risques inutiles face à un variant qui supplante tous les autres, qui est de moins en moins virulent à mesure qu’il mute et surtout qui est particulièrement résistant aux vaccins.

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