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Dans ce cas, autant renoncer à toute idée de souveraineté alimentaire !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, les éleveurs d'animaux victimes de prédations vivent un enfer. Il faudrait aussi de parler des éleveurs qui sont victimes d'attaques et qui ne sont pas reconnus comme tels. Tout cela freine l'installation des jeunes éleveurs dans de nombreux territoires, notamment dans les zones ...
Monsieur le ministre, êtes-vous prêt à autoriser la saisine directe des louvetiers par les éleveurs pour procéder à des tirs de défense, à faire en sorte que l'État prenne à sa charge le coût du ramassage des cadavres, et à élaborer un statut du chien de protection ?
Or cela compte beaucoup !
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, les éleveurs d’animaux victimes de prédations vivent un enfer. Il faudrait aussi de parler des éleveurs qui sont victimes d’attaques et qui ne sont pas reconnus comme tels. Tout cela freine l’installation des jeunes éleveurs dans de nombreux territoires, notamment dans les zones ...
Monsieur le ministre, êtes-vous prêt à autoriser la saisine directe des louvetiers par les éleveurs pour procéder à des tirs de défense, à faire en sorte que l’État prenne à sa charge le coût du ramassage des cadavres, et à élaborer un statut du chien de protection ?
Or cela compte beaucoup !
Très bien !
C’est pourtant le travail de la démocratie !
Ces propos sont inacceptables !
Supprimez la démocratie alors !
C'est pourtant le travail de la démocratie !
Ces propos sont inacceptables !
Supprimez la démocratie alors !
Madame la Première ministre, mes chers collègues, l’adoption de la motion de rejet préalable déposée sur votre projet de loi Immigration, lundi dernier à l’Assemblée nationale, est un échec cuisant. Vous osez dénoncer l’empêchement du débat, alors que vous avez vous-même coupé court, à vingt reprises, aux discussions des députés lors de l’exam...
Cette incohérence, vous la payez. Votre réponse à cet échec et à cette grande confusion, c’est la convocation, en urgence, d’une commission mixte paritaire, pour tenter de petits arrangements. Nous n’acceptons pas ce coup de force contre la démocratie, cette mise en cause profonde du Parlement. Madame la Première ministre, allez-vous renonce...
Mme Cécile Cukierman . Madame la Première ministre, les mêmes Français que vous appelez aujourd’hui à la rescousse rejetaient, pour près de 70 % d’entre eux, la réforme des retraites. Or vous ne les avez pas écoutés !
Les Français ne peuvent être invoqués, « en même temps », dans un cas et dans un autre, lorsque cela vous arrange. Les Français, ce sont les citoyens de notre pays qui forment la République.
Mme Cécile Cukierman. Aujourd’hui, vous faites le choix de piétiner le débat parlementaire
Madame la Première ministre, tenons un discours de sincérité. À l’Assemblée nationale, lundi dernier, des groupes de gauche et de droite ont voté la motion de rejet préalable. Et je vous rappelle que les cinq voix qui vous ont manqué ne sont pas uniquement le fait de la gauche, mais de l’arc républicain présent ici, au Sénat. C’est à cela que ...