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Vous nous le rappellerez dans quinze ans !
C’est la réalité !
N’enflammez pas le Sénat ! Nous sommes calmes !
Quelle humanité !
Oh !
Ne la regrettons pas !
Quelle humanité !
Très bien !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, il y a quelques semaines seulement, lors de l’examen de la loi de règlement par l’Assemblée nationale puis par le Sénat, le bilan de la situation de nos finances publiques a été dressé. Le diagnostic est sombre.
En effet, les dettes accumulées par l’État, qui représentent 86 % de notre PIB, se rapprochent de la barre fatidique des 90 %, taux au-delà duquel les économistes sérieux s’accordent pour dire que le potentiel de croissance économique est fortement émoussé. Monsieur le ministre, le Gouvernement hérite de surcroît d’une situation plus dégradée ...
M. Christian Bourquin. C’était il y a deux cent dix-neuf ans ! Ce texte disposait que « tout malade, domicilié de droit ou non, qui sera sans ressources, sera secouru […] ». En fait, nous voulons secourir des êtres humains ! Quoi de plus normal ?
Pour conclure, je note avec satisfaction le rétablissement du « 1 % formation » versé par les collectivités locales au Centre national de la fonction publique territoriale, le CNFPT, au sein duquel je me suis engagé durant plus de vingt ans. J’étais intervenu sur ce sujet à cette même tribune à la fin de novembre 2011, à l'occasion de la lectur...
Très bien !
Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, il y a quelques semaines seulement, lors de l'examen de la loi de règlement par l'Assemblée nationale puis par le Sénat, le bilan de la situation de nos finances publiques a été dressé. Le diagnostic est sombre.
En effet, les dettes accumulées par l'État, qui représentent 86 % de notre PIB, se rapprochent de la barre fatidique des 90 %, taux au-delà duquel les économistes sérieux s'accordent pour dire que le potentiel de croissance économique est fortement émoussé. Monsieur le ministre, le Gouvernement hérite de surcroît d'une situation plus dégradée ...
M. Christian Bourquin. C'était il y a deux cent dix-neuf ans ! Ce texte disposait que « tout malade, domicilié de droit ou non, qui sera sans ressources, sera secouru […] ». En fait, nous voulons secourir des êtres humains ! Quoi de plus normal ?
Pour conclure, je note avec satisfaction le rétablissement du « 1 % formation » versé par les collectivités locales au Centre national de la fonction publique territoriale, le CNFPT, au sein duquel je me suis engagé durant plus de vingt ans. J'étais intervenu sur ce sujet à cette même tribune à la fin de novembre 2011, à l'occasion de la lectur...
Bravo !
Vous nous le rappellerez dans quinze ans !