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a déclaré partager l'ambition que la France et la Russie dominent le secteur de l'énergie en Europe. Il s'est déclaré surpris qu'EDF achète plus cher l'électricité produite par les éoliennes, et estimé que ce système devait être limité dans le temps.
a souhaité savoir ce qui se passera après cette date.
A M. Christian Poncelet, qui émettait des doutes sur la possibilité d'aboutir à une réconciliation en Afghanistan, M. Jean de Ponton d'Amécourt a affirmé que, au contraire, la réconciliation était possible, en particulier compte tenu de l'importante dimension religieuse qui justifiait la démarche faite auprès des oulémas saoudiens. Il a rappelé...
a souligné la part importante que constituaient les collectivités territoriales dans l'investissement public, soit 70 % du total avant la crise, et a exprimé la crainte que cette source se tarisse en 2010 du fait des difficultés éprouvées par ces collectivités dans leur gestion budgétaire. En effet, la mise en oeuvre du RSA (revenu de solidarit...
s'est inquiété des capacités de la France à faire face à un éventuel renforcement de ses engagements extérieurs, du fait notamment des limites rencontrées en matière de matériels. Il a évoqué à ce sujet l'hypothèse d'un appel aux pays de l'OTAN en Irak lors du retrait des forces américaines.
s'est inquiété du retrait des troupes américaines d'Irak, qui risque de se traduire par une demande adressée à l'OTAN d'assurer la stabilité du pays non actuellement garantie. Pour ce qui concerne l'Iran, il a craint que la France ne fasse les frais, en termes d'influence et d'intérêts économiques, d'une reprise des relations de ce pays avec le...
a regretté le recul du français au niveau international et européen, y compris dans des pays traditionnellement considérés comme francophones, à l'image du Vietnam. Il a estimé que les responsables politiques français avaient une responsabilité particulière pour encourager et défendre le statut et la place du français, notamment au sein de l'Un...
s'étant interrogé au sujet de la réalité des sanctions en cas de non respect des normes environnementales par d'autres pays au regard du risque de « dumping écologique », y compris par certains Etats membres de l'Union européenne, M. René Beaumont, rapporteur, a confirmé que ce risque était réel, bien que le respect des normes environnementales...
s'est interrogé sur les demandes d'aide financière formulées par la Guinée.
s'est interrogé sur les possibilités d'intervention en garantie de la COFACE.
a souhaité des précisions sur les premières orientations de l'administration américaine en matière de politique étrangère, notamment à propos des relations avec la Russie.
s'est interrogé sur la position de la France à l'égard des nouvelles priorités de l'administration présidentielle américaine concernant notamment l'Afghanistan, l'Iran et la Russie et il s'est demandé, en particulier, si la France envisageait de renforcer son contingent militaire en Afghanistan.
a rappelé la citation d'André Malraux selon laquelle : « le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas », et s'est interrogé sur la fermeté de la vigilance des pays occidentaux face à l'émergence mondiale du phénomène religieux.
évoquant les propos du président iranien Mahmoud Ahmadinejad sur la destruction d'Israël, a souhaité savoir si les leaders du Hamas avaient pris position contre cette déclaration.
a indiqué qu'il avait toujours été personnellement hostile à la reconnaissance de l'indépendance du Kosovo, en raison notamment du risque de précédent, comme l'avait d'ailleurs ensuite illustré la reconnaissance de l'indépendance de l'Abkhazie et de l'Ossétie du Sud par la Russie à la suite du conflit avec la Géorgie de l'été dernier. Il s'est ...
a évoqué les réactions de l'opinion publique face aux pertes enregistrées par l'armée française en Afghanistan et la nécessité de mieux expliquer la légitimité de notre action. Le général d'armée Jean-Louis Georgelin a rappelé la notion de sacrifice qui était à la base de l'engagement de tout soldat. Mentionnant ses contacts avec les unités en...
s'est demandé comment s'exerçait le contrôle de la destination des fonds que le ministère consacrait aux ONG, et a déploré que certaines d'entre elles connaissent des coûts de fonctionnement élevés.
s'est interrogé sur les décisions concrètes que le ministère délégué à la coopération avait prises en application des recommandations émises par la Cour des comptes dans son enquête, précédemment évoquée.