1270 interventions trouvées.
En supprimant la possibilité de faire varier, par accord, de trois à sept jours le délai de notification au salarié à temps partiel de la répartition de ses heures de travail dans la semaine, l'amendement n° 303 revient - tout comme l'amendement n° 593 - sur l'un des points importants de l'Ani.
Dans la mesure où l'article 8 résulte de la négociation des partenaires sociaux, je recommande un avis défavorable à l'amendement n° 304 proposant une diminution de huit à trois le nombre d'avenants autorisés en matière de compléments d'heures, ainsi qu'aux amendements n° 238 et 239 qui prévoient de ramener ce nombre à quatre.
Je vous propose d'émettre un avis défavorable à l'amendement n° 305 tendant à supprimer l'exception au plafond des avenants en cas de remplacement d'un autre salarié.
Dans le même esprit, je vous propose de donner, comme l'a fait l'Assemblée nationale, un avis négatif aux amendements n° 306 et 590.
L'amendement n° 315 tend à supprimer l'article du code du travail introduit par la dernière loi Warsmann aux termes duquel un accord collectif peut imposer une répartition des horaires de travail des salariés sur une période supérieure à la semaine et au plus égale à l'année, sans que cela constitue une modification du contrat de travail. Tout ...
L'amendement n° 241 propose de supprimer la période transitoire prévue pour l'application des nouvelles règles relatives au temps partiel. Ceci serait contraire à un élément important de l'article 8, transposition de l'Ani.
L'amendement n° 307, qui conditionne les compléments d'heures à la mise à disposition des salariés d'une aide matérielle ou financière destinée à la garde de leurs enfants, sort du cadre de l'accord et va même à l'encontre du développement des compléments d'heures souhaité par les partenaires sociaux. Avis défavorable.
Je comprends l'intention des auteurs de l'amendement n° 309 portant à 20 % la prime de précarité à l'issue d'un contrat à temps partiel. Toutefois, il ne me semble pas possible d'aller plus loin que ce que propose l'article 8.
L'amendement n° 316, qui supprime le forfait en heures, se situe hors de l'accord. Avis défavorable.
Pour les mêmes raisons, je propose un avis défavorable à l'amendement n° 317, qui traite des garanties du respect des règles relatives à la vie privée et familiale dans le cadre du forfait en heures.
Avis défavorable à l'amendement n° 314 qui propose que les périodes d'arrêt de travail pour maladie soient considérées comme des périodes de travail effectif pour la détermination de la durée du congé payé annuel.
L'amendement n° 313, qui instaure une obligation pour l'employeur de recourir à une assurance privée afin de se couvrir contre les conséquences financières de sa propre faute inexcusable, sort du cadre de l'accord. Avis défavorable.
Je vous recommande aussi d'émettre un avis défavorable à l'amendement n° 310, qui propose de prendre en compte les mesures prises par les entreprises en matière de résorption de l'emploi précaire dans les marchés publics.
L'amendement n° 529 procède à une réécriture de l'article 8 bis. Je propose de lui donner un avis favorable, sous réserve d'une rectification consistant à remplacer dans la première phrase les mots « l'ensemble de ces dispositifs » par « les dispositions de cette loi relatives au temps partiel ».
L'amendement n° 320 propose de supprimer la règle selon laquelle la signature d'un accord de groupe sur la gestion des emplois et des compétences (GPEC) exonère les entreprises qui en font partie de l'obligation d'en conclure un à leur tour.
Avis défavorable à l'amendement n° 323 abaissant le seuil d'effectifs rendant obligatoire la signature d'un accord de GPEC et l'amendement n° 322 obligeant à une négociation annuelle en la matière.
L'amendement n° 324 est satisfait par l'article 9 qui mentionne déjà la perspective de recours à l'intérim parmi les points abordés dans les accords GPEC. Je propose d'en demander le retrait, sinon avis défavorable.
Avis défavorable à l'amendement n° 325 qui tend à rendre obligatoires des thèmes facultatifs de la négociation sur la GPEC.
L'amendement n° 326 propose que les entreprises soient informées des accords de GPEC négociés chez le donneur d'ordre.
Tout à fait et je proposerai moi même un amendement peut-être plus fidèle à la lettre et à l'esprit de l'accord. Je demande donc le retrait de l'amendement n° 326, sinon avis défavorable. Ma position sera la même pour l'amendement n° 599.