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L’amendement est défendu.
Vous êtes servi !
Il faut être gentil avec M. le secrétaire d'État…
Parlez-nous de Mélenchon ?
Que dit Mélenchon ?
Arrêtez le massacre !
Il n’y a aucun suspense ! Nous connaissons la réponse !
Quelle mise en scène ! Allez donc préparer votre primaire !
Nous ne sommes pas à l’Assemblée nationale ! Un peu de retenue, monsieur le secrétaire d'État !
De même que Mme Pinel !
M. Éric Doligé. Une petite partie !
M. Éric Doligé. Les cars Macron !
Excellent rapport !
Le groupe socialiste et républicain nous a offert son temps de parole !
Nous allons diminuer le chômage !
Madame la présidente, monsieur le secrétaire d’État, madame la présidente de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, le déficit budgétaire est-il une fatalité ? Le chômage doit-il être en permanence deux fois plus élevé que chez nos principaux partenaires ? La dette publique doit-elle sans cesse augmente...
Par quatre fois, vous avez promis que la dette passerait en dessous de 3 %.
Dès 2013, le Président de la République a pris l’engagement d’inverser la courbe du chômage.
Monsieur le secrétaire d'État, nous ne sommes pas à l'Assemblée nationale, et vous n’êtes plus député ! À la fin de 2016, nous constatons qu’il y a 550 000 chômeurs de plus. Le Président de la République nous dit avoir tenu son engagement d’inversion ! Un président ne devrait pas dire cela… C’est à l’évidence faux. La dette ne cesse de progres...
Sur ces trois postes, vous avez déjà engagé 45 milliards d’euros en cinq ans. Si François Fillon est élu en mai prochain, nous tiendrons avec lui nos engagements et réaliserons les 100 milliards d’euros d’économies annoncés. Seule la baisse massive de la dépense publique permettra de diminuer les déficits, de réduire la dette et de financer le...