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Interventions en hémicycle de François Marc


4242 interventions trouvées.

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le président de la commission, madame la rapporteure générale, mes chers collègues, nous voici de nouveau réunis après 130 heures de débats budgétaires et financiers, et ce dans un contexte très original. En effet, c’est sans doute la première fois depuis de nombreuses années que l’on examine...

Excusez du peu ! Cela correspond à une augmentation de 50 % en un an ! Dans ce domaine aussi, on voit où en est la France… Je veux souligner également la dégradation accélérée de la conjoncture générale, avec l’entrée en récession de plusieurs économies occidentales. L’économie d’endettement et de spéculation est aujourd'hui en train de montre...

Nous avons ainsi créé des recettes supplémentaires à hauteur de 11 milliards d’euros. Nous avons opéré un tri plus ambitieux des dépenses fiscales improductives, car les niches fiscales sont, selon nous, une source à exploiter. Nous avons manifesté notre souci d’une plus grande solidarité dans l’effort que doit aujourd'hui consentir notre pay...

La réponse, nous l’avons obtenue : c’est une fin de non-recevoir qui nous a été opposée.

Permettez-moi de vous le dire, mes chers collègues, cet appel à l’union sacrée n’en est pas un ! Il ressemble plutôt à un coup d’épée dans l’eau. Vous avez rejeté systématiquement les propositions que nous avons formulées dans un esprit constructif. Ne nous dites donc pas qu’il s’agissait pour nous de défaire plutôt que de faire ! Tout ce qui ...

En effet, nous n’avons pas été en mesure de faire un travail très construit sur les dépenses du fait de toutes les difficultés de procédure qui nous en ont empêchés. Deuxièmement, le travail d’évaluation et de simulation a également montré ses limites. Le Parlement – en tout cas, le Sénat – n’a pas été en mesure de travailler dans de bonnes c...

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le président de la commission, madame la rapporteure générale, mes chers collègues, nous voici de nouveau réunis après 130 heures de débats budgétaires et financiers, et ce dans un contexte très original. En effet, c'est sans doute la première fois depuis de nombreuses années que l'on examine...

Excusez du peu ! Cela correspond à une augmentation de 50 % en un an ! Dans ce domaine aussi, on voit où en est la France… Je veux souligner également la dégradation accélérée de la conjoncture générale, avec l'entrée en récession de plusieurs économies occidentales. L'économie d'endettement et de spéculation est aujourd'hui en train de montre...

Nous avons ainsi créé des recettes supplémentaires à hauteur de 11 milliards d'euros. Nous avons opéré un tri plus ambitieux des dépenses fiscales improductives, car les niches fiscales sont, selon nous, une source à exploiter. Nous avons manifesté notre souci d'une plus grande solidarité dans l'effort que doit aujourd'hui consentir notre pay...

La réponse, nous l'avons obtenue : c'est une fin de non-recevoir qui nous a été opposée.

Permettez-moi de vous le dire, mes chers collègues, cet appel à l'union sacrée n'en est pas un ! Il ressemble plutôt à un coup d'épée dans l'eau. Vous avez rejeté systématiquement les propositions que nous avons formulées dans un esprit constructif. Ne nous dites donc pas qu'il s'agissait pour nous de défaire plutôt que de faire ! Tout ce qui ...

En effet, nous n'avons pas été en mesure de faire un travail très construit sur les dépenses du fait de toutes les difficultés de procédure qui nous en ont empêchés. Deuxièmement, le travail d'évaluation et de simulation a également montré ses limites. Le Parlement – en tout cas, le Sénat – n'a pas été en mesure de travailler dans de bonnes c...

Notre groupe estime lui aussi qu’il est important de faire droit à la revendication des avoués. Mme Lagarde avait elle-même assuré, le 24 mars dernier, qu’elle soumettrait au Parlement dans le courant de l’année 2011 des dispositions visant à respecter les engagements pris par le garde des sceaux lors de l’examen en procédure accélérée du proj...

Notre argumentation est la même que celle que vient de développer notre collègue Jacques Mézard. Le délai du 31 décembre 2012 serait en effet plus approprié.