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... tandis que, dans d'autres, ces sections n'existent que dans une seule langue. Or, dans la compétition entre les territoires pour attirer les investissements internationaux, il est très important de pouvoir disposer d'une offre large et équilibrée dans ce domaine, les investisseurs étrangers tenant compte de ce critère pour le choix de leur...
Nous avons précédemment été amenés à supprimer une disposition relative à l'apprentissage des langues régionales de France, qui avait été insérée dans le texte à l'Assemblée nationale, par le biais de l'adoption d'un amendement présenté par M. Reiss. Cette suppression pouvait être motivée à bon droit par le fait que l'amendement subordonnait l...
Il doit être bien clair que cet amendement a pour objet non pas de quantifier le développement des langues régionales de France, mais simplement de rappeler que le choix d'apprendre une telle langue doit rester ouvert. Bien sûr, il existe des langues d'une importance majeure à l'échelle de la planète, et il est souhaitable que nos enfants maît...
Dans ces conditions, je retire l'amendement.
Le présent amendement prévoit que le service public de l'emploi, qui connaît bien les besoins en la matière tant dans les bassins d'emploi qu'au niveau national, peut participer à l'information des élèves dans leur recherche d'orientation.
Nous avons déploré à plusieurs reprises qu'un grand nombre de jeunes bacheliers échouent au cours de leurs premières années de scolarité dans l'enseignement supérieur. Une partie de ces échecs est due à une mauvaise orientation ou à une information insuffisante sur les filières d'enseignement supérieur. Il apparaît donc souhaitable de donner au...
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, nous sommes nombreux, au groupe UMP, à être présents au terme de ce débat car nous savons que le texte examiné est ambitieux et qu'il porte en lui un véritable projet pour notre école. Au travers des objectifs définis par cette loi d'orientation et de programmation, avec les moy...
M. Jacques Legendre. Je tiens d'abord à dire que, en tant qu'enseignant et que parlementaire, j'ai trouvé curieux d'être accusé d'appartenir à un groupe politique qui n'aimerait pas les enseignants ! Comment pourrait-on ne pas s'aimer soi-même ?
Sur toutes les travées de cet hémicycle, siègent des enseignants et des gens qui se préoccupent sincèrement de l'organisation de l'éducation nationale, de la qualité de notre éducation et, surtout, du devenir des élèves, qui est l'objet même de notre débat. L'amendement n° 564, que je ne voterai pas, me paraît, sinon constituer une fausse accu...
Monsieur le président, mes chers collègues, le moins que l'on puisse dire c'est que, depuis un certain temps, je n'ai pas abusé de la parole. Je le regrette !
En effet, quand un vrai débat a lieu sur l'éducation, sur les sujets de fond, tout le monde a des choses à dire et souhaite pouvoir s'exprimer. Mais nous sommes un parlement et, à ce titre, nous devons le faire dans des délais raisonnables. Vous avez eu raison de rappeler que la loi Jospin avait été débattue sur trois jours, comme d'ailleurs l...
Ces débats n'avaient pas fourni le prétexte, ni à la majorité ni à l'opposition de l'époque, du spectacle lamentable que nous risquons de donner ce soir. Il y a une façon très facile de voir si un débat est conduit loyalement ou bien si certains ont entrepris d'empêcher le débat et de « jouer la montre ».
Chacun sait que déposer dix demandes de scrutin public sur un seul article, ce n'est pas vouloir favoriser un débat de fond, c'est vouloir gagner du temps et ajouter du temps au temps !
Ce que nous vivons ce soir me rappelle quelques souvenirs, monsieur Assouline, qui peut-être nous sont communs.
M. Jacques Legendre. Nous sommes quelques-uns à avoir commencé notre vie politique par le syndicalisme étudiant. Je crois qu'on ne gagnera pas grand-chose à apporter à la Haute Assemblée les moeurs qui furent celles de certains amphithéâtres de l'UNEF à la grande époque !
Ce n'est pas un progrès pour le Parlement. !
Il doit être bien clair que le débat qui se déroule au Parlement porte sur un sujet de fond important : l'amélioration de l'éducation dispensée à nos enfants. La majorité entend - c'est légitime - faire passer ce qu'elle croit être bon pour le pays ; l'opposition le conteste - c'est son droit -, mais nous irons au fond des choses et, soyez-en ...
Tous ces amendements en discussion commune visent essentiellement à revenir sur la création de la note de vie scolaire. Madame Voynet, j'ai été quelque peu étonné par vos propos ; vous vous inquiétez du comportement éventuel des détenteurs de l'autorité dans ce domaine. Or M. le ministre vient de rappeler que ce sont les enseignants, les membr...
M. Jacques Legendre. Je me sens obligé de me justifier après les propos qui viennent d'être tenus !