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En réponse, M. Jean François-Poncet a considéré que les premières mesures prises par le Président Barack Obama montraient une réelle volonté des Etats-Unis de s'impliquer dans la région et que l'Europe pouvait lui apporter une aide utile, à condition d'être unie et de parler d'une seule voix.
a rappelé que la mission confiée par le bureau de la commission avait le double objectif de publier un rapport d'information sur la situation du Moyen-Orient qui serait suivi d'un colloque. Ce rapport devra s'attacher à faire ressortir les caractéristiques principales de la région et à en évoquer les perspectives, en ayant à l'esprit ce que dev...
revenant sur la notion « d'agenda caché », a souhaité savoir comment Israël voyait l'évolution de la question palestinienne à long terme. Il a fait part de son sentiment selon lequel Israël ne souhaitait pas négocier en vue de la création d'un Etat palestinien. L'alternative ne peut être celle d'un Etat binational et les Palestiniens n'accepter...
s'est interrogé, à la lumière des précédents danois et irlandais, sur la possibilité d'une modification de la procédure de ratification des traités européens afin de surmonter la contrainte de l'unanimité.
s'est interrogé sur les résultats des contacts pris par les autorités afghanes avec des « Talibans modérés », par l'entremise de l'Arabie saoudite.
Remerciant M. Olli Rehn pour son exposé, M. Jean François-Poncet, président, s'est d'abord interrogé sur les relations entre le processus d'élargissement et la ratification du traité de Lisbonne et il s'est demandé si l'Union européenne pouvait accueillir un nouvel Etat membre tant que le traité de Lisbonne n'aura pas été ratifié. Au sujet du K...
a rappelé en conclusion l'intérêt de la France pour les questions d'élargissement. Considérant que ce dossier était traité par la Commission avec beaucoup de rigueur, il a estimé que l'impact de la crise financière devrait être examiné. Il amènerait peut-être de nouvelles candidatures, comme celle de l'Islande.
a estimé que le constat formulé n'était pas nouveau et n'était ignoré de personne. Il a en revanche estimé que le silence qui l'entourait était en revanche frappant. Il a rappelé que la France avait été moins silencieuse, mais qu'elle ne réagissait plus aujourd'hui face aux excès de la politique israélienne. Il s'est interrogé sur la publicatio...
Monsieur le président, monsieur le Premier ministre, messieurs les ministres, mes chers collègues, le 11 septembre 2001, il y a sept ans, une vingtaine de terroristes prenaient d’assaut quatre avions de ligne aux États-Unis. Les deux premiers furent précipités contre le World Trade Center, dont les deux tours s’effondrèrent, faisant 3 000 victi...
Il est vrai que certains prétendent que ce sont les Américains eux-mêmes… Peut-être en êtes-vous ?
Je suis heureux de votre dénégation.
Les talibans s’étaient rendu maîtres du pays à l’issue d’une sanglante guerre civile. Ces événements sont dans toutes les mémoires. Si je les ai rappelés, c’est pour situer l’embuscade dont dix soldats français ont été les victimes héroïques, le 18 août dernier, dans son véritable contexte : celui du combat de l’Occident et de ses alliés contr...
M. Jean François-Poncet. Pouvons-nous laisser ce pays redevenir le havre où Ben Laden, le mollah Omar et leur état-major réinstalleront, en toute sécurité, leurs camps d’entraînement et, un jour, pas si lointain peut-être, des sites de fabrication d’armes de destruction massive ?
À quoi bon traquer les jihadistes au Moyen-Orient, en Afrique du Nord ou en Europe s’ils disposent, en Afghanistan, d’une base arrière d’où ils peuvent, en toute impunité, se préparer à nous frapper ? C’est l’intérêt national qui est en cause. L’opinion publique a du mal à le comprendre. Il est de notre responsabilité de l’éclairer. Pouvons-no...
J’en viens à la stratégie à mettre en œuvre face à un tel enjeu. La montée en puissance des talibans est un fait. Les attentats qu’ils ont perpétrés ont augmenté de 30 % en un an et sont caractérisés par une audace croissante, comme en témoignent l’attentat en plein Kaboul visant le président Karzaï, l’attaque contre l’ambassade de l’Inde, égal...
… un pays grand comme la France, dont le relief est l’un des plus tourmentés du monde ? Le secrétaire général de l’OTAN ne le pense pas ; le président des États-Unis non plus, qui s’est déclaré prêt à envoyer en Afghanistan 3 700 soldats en 2008…
… et trois brigades supplémentaires, soit 10 000 hommes, l’année prochaine. Comme vous le savez, les deux candidats à l’élection présidentielle américaine sont sur la même ligne et annoncent qu’ils demanderont aux Européens de s’associer à l’effort américain. C’est dans ce contexte que le Président de la République a décidé l’envoi en Afghanis...
… interdisant ainsi que celles-ci soient engagées dans les zones dangereuses de l’est et du sud du pays. Il est essentiel que les forces de l’OTAN constituent un ensemble homogène, sous un même commandement et à la disposition de la coalition, et que la coordination entre elles et les forces spéciales américaines soit améliorée. Personne, pour...
Aussi la stratégie mise en œuvre comporte-t-elle, depuis le premier jour, un important volet économique. Une guerre anti-insurrectionnelle ne se gagne qu’avec le soutien de la population. Or celle-ci, après trente ans de troubles sanglants, connaît une immense misère. Les ONG, financées par l’ONU, ne sont pas les seules à y faire un admirable ...
a estimé que la communauté internationale n'avait d'autre alternative que de poursuivre la mission engagée en Afghanistan. Il a observé qu'à la suite de l'amélioration relative de la situation en Irak, les Etats-Unis semblaient accorder une priorité élevée à l'Afghanistan, ce qui pourrait les conduire à y renforcer leurs effectifs militaires. I...