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Madame la présidente, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, je souhaite intervenir également sur cet amendement n° I–53 de la commission, de façon moins technique que mon collègue Éric Bocquet, mais en restant au plus près des réalités. Deux points sont incontestables, compte tenu de la situation : alors qu’il est difficile à l’É...
… et le carburant de sa voiture diesel.
Est-ce qu’en pourcentage cette personne ne paye pas l’impôt ? Si ! Et sans doute beaucoup plus que d’autres ! Soyons attentifs : la seule raison politicienne ne permet pas de comprendre en profondeur les effets réels de ce qui a été fait. Concernant le quotient familial, par exemple, nous acceptons les choix qui ont été faits et nous les assu...
C'est un sujet de réaction, nous devons montrer à nos collègues que nous comprenons ces questions !
Personne ne dit cela !
Tout le monde est sensible à cette question, mais le « contrat de retraite à prestation définie », puisque telle est la dénomination juridique de ce que l’on appelle les « retraites chapeaux », concerne à peu près un million de personnes.
On peut envisager le sujet de différentes façons. On peut faire du cinéma en surfant sur l’actualité, mais il n’empêche que, pour changer les choses – ce qui va être fait –, il faut modifier le régime des retraites inscrit à l’article 39 du code des pensions.
Ce que dit le secrétaire d’État est juste. On ne peut pas, de but en blanc, prendre une décision qui, de toute façon, serait censurée par le Conseil constitutionnel, et causerait en outre du tort à un grand nombre de personnes. Notre position est connue. Il ne faut pas laisser entendre que nous resterions au milieu du gué et que nous refuserio...
M. Jean Germain. Mais ce n’est pas le même problème ! Comme je l’ai dit hier, vous avez le droit d’estimer qu’il ne faut pas améliorer la compétitivité des entreprises, qu’il faut sortir de l’Union européenne, qu’il faut sortir de l’euro et même – pourquoi pas ? – du système solaire !
C’est extrêmement difficile ! Puisque le cas des ouvriers de la métallurgie a été évoqué, je rappellerai que si l’on avait accepté de moderniser la sidérurgie en Lorraine, au lieu de tout bloquer, on aurait évité sa délocalisation. Pour reprendre la formule d’un humoriste, c’est notre position et nous la partageons, mais on ne peut pas la rai...
Ce matin, la commission a examiné ces amendements rapidement, comme l’a dit M. le rapporteur général, mais sérieusement. Nos collègues soulèvent de vraies difficultés. Nous attendons de pouvoir bénéficier de l’expertise du Gouvernement, mais, en tout état de cause, nous voterons en faveur de l’adoption l’amendement n° I-57.
Égarés !
Nous avons toujours souhaité que le débat ait lieu, même les années précédentes.
Nous ne vous suivons pas.
Madame la présidente, monsieur le ministre, monsieur le secrétaire d’État, madame la présidente de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, dans un contexte de sortie de crise économique difficile dans toute l’Union européenne, avec une croissance très faible et un endettement public élevé, notre pays doi...
Dans ce projet de loi de finances, qui n’est, certes, guère « sexy » – mais nous sommes tout de même dans une période particulière –, le Gouvernement propose un certain nombre de mesures précises, notamment des mesures qui visent à faire des économies, comme nous l’avons vu voilà quelques jours lors de l’examen du projet de loi de programmation...
On voit bien, finalement, la limite du maniement des chiffres comme argument d’autorité dans le discours politique. Dans les meetings, on réclame 120 milliards d’euros d’économies et, au bout du compte, que trouvons-nous ? La suppression de postes dans l’éducation nationale et celle d’un certain nombre d’emplois aidés, la diminution de 1, 2 mil...
Nous avons quelques jours encore pour faire les comptes, et nous en reparlerons. Nous verrons quel équilibre vous aurez finalement trouvé. Ce sera très loin des économies que vous réclamez dans les meetings ! Pour conclure, je tiens à le dire, ce n’est pas parce que nous avons trop d’Europe que les choses avancent moins vite, mais parce que no...
Les jeunes ne sont pas tous des paresseux ni des bons à rien ! Il faut avoir conscience des difficultés économiques de notre pays. Qui n'a pas dans son entourage, voire dans sa famille quelqu'un dans cette situation ? En Allemagne, les Länder complètent par des subventions les salaires des travailleurs pauvres qui gagnent moins de 762 euros par...