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Je le dis depuis des années : le bioréacteur n'a rien à voir avec le stockage ni avec la méthanisation. L'ADEME distingue parfaitement les choses, en donnant une définition par type d'acte. Les définitions de l'Agence ont été validées par le ministère, et il n'y a aucune raison d'entretenir la confusion, qui est permanente, à tous les niveaux !
Ce n'est pas satisfaisant, les techniques sont trop différentes : j'espère vous en convaincre lorsque, prochainement, vous visiterez notre bioréacteur tarnais !
La définition de l'ADEME est très précise, elle convient tout à fait, elle a été approuvée par les opérateurs comme Veolia et la Sita, et j'espère que notre rapport la reprendra, pour mettre fin à une confusion qui n'a que trop duré et que le ministère entretient : mon vote sur ce rapport en dépendra !
S'il y a des exemples réussis...
il faut prévenir les élus de ce que le compostage donne peu de sorties monnayables, sinon, plus d'un risque de déchanter !
C'est, en effet, déjà beaucoup que de pouvoir s'en débarrasser pour rien.
Où l'on n'en veut pas, en principe.
Sans doute, mais leur prix de revient, hors collecte, est de 240 à 250 euros la tonne.
Très juste.
On ne peut donner que des exemples : les coûts peuvent beaucoup varier d'une collectivité à l'autre.
C'est bien pourquoi il faut différencier méthanisation et bioréacteur.
Il ne faut pas non plus que les élus se désintéressent de leurs équipements...
Ce sont les deux tiers qui restent à incinérer ou à enfouir.
C'est la même chose à Lille. Les deux tiers doivent être incinérés : il faut deux équipements complémentaires.
La technique demande en tout état de cause à être couplée à une autre.
Le centre d'enfouissement technique ou l'incinérateur.
A Paris.
C'est vrai pour toutes les techniques.
Le rapport peut être l'occasion de faire des propositions.
Comme la valorisation énergétique.