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Interventions en hémicycle de Jean-Pierre Godefroy


3018 interventions trouvées.

Ce débat est symptomatique. Je me souviens avoir dit à M. Borloo, il y a longtemps, que l'apprentissage méritait une discussion dépassionnée. Mais avec des dispositions sur l'apprentissage à partir de quatorze ou quinze ans, le projet de loi pour l'égalité des chances ne le permet pas. Toute l'ambiguïté réside dans le fait que nous ne sommes p...

M. Jean-Pierre Godefroy. Or en expliquant notre position, nous risquons de nous répéter. Cela dit, cette position a des vertus pédagogiques.

Il est donc vraiment dommage que l'apprentissage soit traité de cette façon. Tout à l'heure, monsieur le ministre, je vous expliquerai pourquoi, en prenant la parole sur l'article, j'ai parlé des banlieues ; j'y reviendrai en présentant un prochain amendement. Mais il faut essayer de débattre de l'apprentissage, qui le mérite bien, même si no...

Les MacDo, on en reparlera à propos du travail le dimanche et les jours fériés. En revanche dans les entreprises, c'est possible, mais ce n'est pas certain.

J'aurais eu des scrupules à ne pas parler de l'apprentissage. Mais les conditions dans lesquelles nous en discutons faussent un peu le débat de fond. Ce sujet aurait mérité un projet de loi à lui tout seul avec de longues auditions, un travail préparatoire et le souci de déposer des amendements. Or tel n'a pas été le cas. Nous voterons donc co...

Cet amendement tend à empêcher une remise en cause de l'obligation scolaire jusqu'à l'âge de seize ans et une orientation prématurée des jeunes. Monsieur le ministre, nous argumentons depuis longtemps pour essayer de vous convaincre. Permettez-moi donc de vous apporter une voix extérieure, en me référant à une tribune parue dans le journal ...

C'est la raison pour laquelle nous avons déposé cet amendement. Je réitère mon propos : je crois qu'une loi sur l'apprentissage aurait été valable si nous avions pu en discuter préalablement.

Nous sommes aujourd'hui contraints de débattre dans des conditions drastiques sur un sujet qui aurait mérité un texte unique.

L'apprentissage à quatorze ans est-il réalisable ? Si l'avis des organisations syndicales de salariés est évident sur ce point - vous le connaissez, elles l'ont toutes donné -, celui des organisations patronales et des chefs d'entreprise - je vous ai fait part tout à l'heure de celui de M. Leclerc - n'est pas moins intéressant. On comprend mi...

Monsieur le président, je retire mon amendement, car il n'a plus d'objet.

C'est certainement dû à l'heure tardive, monsieur le président, mais j'avoue être quelque peu étonné des propos du président de la commission des affaires sociales.

Nous nous donnons beaucoup de mal pour élaborer les amendements, monsieur About. Vous allez regretter les propos que vous venez de tenir parce que vous êtes un homme sensible et respectueux des autres. Mes collègues et moi-même travaillons avec vous, au sein de la commission des affaires sociales, en bonne harmonie, en bonne entente.

Nous essayons toujours de formuler des propositions concrètes et d'engager le dialogue. Mais là, je pense que vos propos sont quelque peu désagréables à l'égard de ma collègue.

Cette explication de vote vaudra défense de l'amendement n° 109 rectifié, puisque M. le ministre a abordé le problème de la gratification. Sincèrement, je m'interroge au sujet de cette gratification. J'ai entendu dire que vous en auriez fixé le montant, pour un enfant âgé de quatorze à quinze ans, à environ 50 euros par semaine, soit 200 euros...

Je retire cet amendement, tout comme les amendements n° 117 et 128.

Cette intervention vaudra aussi pour la défense des amendements n° 415, 124, 125 et 126, monsieur le président. Cela nous fera gagner du temps ! Ces amendements visent à éviter que des jeunes soumis à l'obligation scolaire ne soient contraints de travailler le dimanche, sous prétexte de les initier à un métier. Cela constituerait une dérive. ...