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Je suis givré ? Monsieur le président, j'exige des excuses de M. Braye.
Monsieur le président, comme cette remarque m'a été adressée, je voudrais faire observer à l'ensemble de la Haute Assemblée que je n'ai pas coutume d'être désagréable avec quelque orateur que ce soit.
Il n'est pas non plus dans mes habitudes d'insulter qui que ce soit. En l'occurrence, j'essayais simplement de défendre un amendement dans le cadre du débat parlementaire.
Vous avez dit : « Ils sont givrés ! ». Je vous demande des excuses.
Je suis tout à fait désolé de ce qui se passe. Je voulais simplement expliquer à M. le ministre pourquoi il me semblait désastreux d'étendre cette mesure aux jeunes de quinze à seize ans. Monsieur le président, je vais maintenant m'asseoir et écouter la réponse de M. le ministre, mais je note que M. Braye ne veut pas me présenter des excuses e...
J'ai bien entendu les éléments techniques apportés par M. le ministre. Mais, sur le fond, je ne suis pas d'accord. Lorsque, dans cet hémicycle, s'est tenu le débat sur le travail des jeunes de seize à dix-huit ans - M. Borloo représentait le Gouvernement -, nous avons fait part de notre position. En matière d'apprentissage, il faut savoir de ...
Je souhaite attirer l'attention du Sénat sur le décret n° 8571 de mars 2005, pris pour partie en application de la loi de programmation pour la cohésion sociale et introduisant des modifications en matière de mobilité européenne des apprentis et de compétences professionnelles des maîtres d'apprentissage. Ce décret, qui procède à un toilettage...
Cet amendement est déjà défendu.
C'est un amendement de conséquence.
Cet amendement se justifie par son texte même.
Non, je le retire, monsieur le président.
Absolument !
Et pourquoi pas douze ans ?
Où est la liste ?
C'est là le sens du dialogue patronal !
Des maisons de correction !
Sait-il ce qu'il dit ?
Monsieur le président, il me paraît tout d'abord difficile de reprendre la séance alors que nos collègues sont encore en train d'exprimer leur soutien à Mme Ingrid Betancourt. En outre, nous souhaitons proposer, à notre tour, une suspension de séance, pour permettre à la commission des affaires sociales de se réunir brièvement. Il nous semble ...