Les amendements de Jean-Yves Leconte pour ce dossier
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Il est légitime d'avancer rapidement sur ces questions, mais nous n'obtiendrons rien en avançant seuls. Voyez ce qu'il est advenu de la carte d'identité biométrique. On a voulu faire plus, en retenant le principe d'un fichier à lien fort, disposition qui a été censurée, in fine, par le Conseil constitutionnel. Moyennant quoi, il faut nous passe...
Je voudrais revenir sur le manque de fiabilité du test osseux. Il est avéré aujourd'hui que cet examen médical ne donne aucune véritable garantie sur l'état de minorité des jeunes concernés.
Comme vient de l'indiquer le président Jean Bizet, une rencontre a été organisée le 4 décembre dernier avec trois membres de la commission des affaires intérieures de la Chambre des Communes : Monsieur Vaz, président de la commission et Messieurs Loughton et Winnick, membres de la commission. Participait aussi à cette rencontre notre collègue s...
Les migrations dans tel ou tel pays ont toujours des raisons historiques avec des attaches familiales ou des réseaux. J'ai constaté, par exemple, ce qui peut paraître curieux, qu'il existait des réseaux entre la France et le Sri Lanka.
Il existe, bien sûr, en Europe beaucoup d'autres points sensibles avec, par exemple, les enclaves espagnoles au Maroc ou encore la frontière gréco-turque. D'après le directeur de l'Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA), seuls environ 10 % des migrants de Calais acceptaient de faire une demande d'asile en France, et ce ...
Même si on la mettait en oeuvre, cette immigration sélective ne représenterait qu'une petite partie de l'« immigration » régulière dans nos États européens. Celle-ci est, en effet, essentiellement composée des arrivants issus du regroupement familial exigé par la Convention européenne des droits de l'homme, de la population étudiante et des dem...
L'existence de réseaux mafieux n'est pas contestable. Cela dit, n'oublions pas que les migrants de Calais représentent une infime minorité par rapport à la masse de ceux qui demandent l'asile en Allemagne ou en Suède.
Face aux migrations clandestines, l'espace « Schengen » n'est pas le problème ; il est plutôt la solution car s'il n'existait pas, les différents pays de l'Europe se renverraient les migrants de frontières en frontières. Ce qu'il nous faut, ce sont des règles efficaces et surtout une politique commune en matière de visas par exemple. Je souhai...