3489 interventions trouvées.
Le socle est par terre : ils montent du sous-sol !
Monsieur le président, si vous le permettez, j'apporterai également des précisions sur le sous-amendement n° 641 ainsi que sur l'amendement n° 139, ce qui m'évitera de revenir sur ces points au cours des explications de vote. Au fond, le problème est le même. J'en viens au sous-amendement n° 656. Par l'amendement n° 9, M. Carle, au nom de la c...
Autrement dit, je propose que ce ne soient pas les personnels de l'école eux-mêmes qui fassent entre eux l'évaluation. La reproduction au sein d'un même groupe s'appelle « l'isolat biologique » et peut engendrer des choses curieuses ! J'en viens aux autres points que je souhaite aborder pour ne pas avoir à y revenir, je le répète. Monsieur le...
J'en arrive à la morale civique. Au fond, l'amendement n° 139 que j'ai présenté peut relever de l'instruction ministérielle, comme beaucoup d'autres sujets dans ce texte. La question est simple : monsieur le ministre, peut-on rétablir, au moins à l'école primaire, la règle selon laquelle l'enseignement commence chaque matin par une leçon de mo...
Cela peut vouloir dire : un enseignant venant d'une autre école.
Si ça ne marche pas, l'Etat sera condamné par le tribunal administratif !
S'agissant du sous-amendement n° 656 rectifié, je comprends bien ce que veut dire M. le ministre et, bien qu'il ne me paraisse toujours pas très normal que les gens s'évaluent entre eux, je ne vais pas insister : je le retire. En revanche, je maintiens le sous-amendement n° 641 rectifié, car « garantir » signifie quelque chose. Ou alors, nous ...
M. Michel Charasse. Je regrette d'être resté seul : j'étais en train d'écrire et je n'ai pas vu la manoeuvre s'exécuter. On ne peut pas tout faire à la fois !
Quoi que l'on dise - et un certain nombre de remarques ont été faites, y compris par mes amis -, ce texte mérite sans doute d'être un peu revu en commission mixte paritaire. Sur la forme d'abord - mais je ne m'y attarderai pas, car j'ai déjà beaucoup insisté ce matin -, il me semble préférable d'écrire que les connaissances et les compétences ...
Sur le fond ensuite, je suis, monsieur le ministre, très déçu de voir la République disparaître du socle des connaissances. Dans l'énumération proposée et dont mes amis ont dit ce qu'il fallait penser, il manque l'instruction civique et l'instruction de la République. C'est un point que l'on ne peut supprimer comme cela ! (Les membres du gro...
Si l'école ne s'en charge pas, qui apprendra la République à la jeunesse de France ? Qui lui apprendra la démocratie, ses règles, ses limites ? La liberté ? La laïcité ? La tolérance ? La République est le socle du socle : l'école de la République, c'est le socle du socle. Puisque ce texte sera examiné en commission mixte paritaire, je souhait...
Ces deux amendements identiques soulèvent un problème assez curieux pour cette année. En effet, à la suite de l'installation de la Conférence nationale des services publics en milieu rural, il n'y a pas de carte scolaire pour cette année puisque tout est gelé. Nous parlons donc de quelque chose qui n'existe pas. Monsieur le ministre, la situat...
Au final, cela fait beaucoup d'endroits. Par conséquent, monsieur le ministre, qu'en est-il des projets d'ouvertures ?
A partir du moment où vous ne pouvez pas récupérer des postes en fermant des classes et compte tenu des mesures prévues dans la loi de finances, je ne vois pas où vous allez trouver les postes pour procéder à des ouvertures de classes. D'ailleurs, en tant que président de l'association des maires de mon département, j'ai moi-même envoyé une ci...
Ce n'est pas ce que les intéressés ont compris !
Je dirai amicalement à notre collègue que le législateur est toujours compétent en tout. Peut-être a-t-il voulu parler de l'Etat, ce qui n'est pas la même chose. Mais le législateur fait ce qu'il veut, quand il veut !
M. Michel Charasse. A titre personnel, j'invoque l'article 40 de la Constitution à l'encontre de cet amendement. En effet, le deuxième alinéa du texte proposé impose des charges aux collectivités territoriales en matière de construction des collèges et des lycées.
Ils touchent les allocations familiales pourtant !
Je propose pour ma part une rédaction moins complète que celle qui vient d'être exposée par M. Bodin et avec laquelle je suis tout à fait en accord. Elle porte sur un point particulier. On a trop tendance, depuis quelque temps, à considérer que, au fond, à l'école, les parents valent les enseignants, que les uns et les autres ont le même pouvo...