Les amendements de Olivier Henno pour ce dossier

20 interventions trouvées.

Nous revendiquerons donc nous aussi une forme de paternité, si vous le permettez ! Je remercie à mon tour la commission, le ministre et Mme Boyer. Même si cet amendement n’est pas une révolution, faire passer le sursis d’un à deux mois permettra aux maires d’avoir un peu plus de temps pour faire face à une question éminemment complexe. Pour av...

Nous revendiquerons donc nous aussi une forme de paternité, si vous le permettez ! Je remercie à mon tour la commission, le ministre et Mme Boyer. Même si cet amendement n'est pas une révolution, faire passer le sursis d'un à deux mois permettra aux maires d'avoir un peu plus de temps pour faire face à une question éminemment complexe. Pour av...

Nous revendiquerons donc nous aussi une forme de paternité, si vous le permettez ! Je remercie à mon tour la commission, le ministre et Mme Boyer. Même si cet amendement n'est pas une révolution, faire passer le sursis d'un à deux mois permettra aux maires d'avoir un peu plus de temps pour faire face à une question éminemment complexe. Pour av...

M. Olivier Henno. Oui, madame de La Gontrie, c’est un accord politique. Ce n’est pas un gros mot ! Cet accord, dont vous vous êtes moquée, révèle la solidité de la majorité sénatoriale. Peut-être est-ce cela qui vous gêne…

Cet accord résulte d’un équilibre. Je salue d’ailleurs le travail de nos rapporteurs. Nous avons agi avec prudence en préférant le cas par le cas plutôt que la régularisation systématique. C’est un choix. En tout cas, nous avons avancé et progressé. Ces dispositions ne se substituent pas à la circulaire Valls, elles s’y ajoutent.

Pour reprendre une image que vous connaissez bien : on est un peu plus gentils avec les gentils ! Enfin, n’allez pas nous donner des leçons en matière d’accord politique, quand vous avez signé celui de la Nupes !

Voilà un bel exemple de grand écart ! Je voudrais insister sur le principe de prudence. Il me semble, lorsque je vous écoute, que vous êtes bien confiants. Oui, nous abordons ces questions la main tremblante, car le choc démographique est là : nous ne sommes plus dans les années 1980, à l’époque des pancartes « Touche pas à mon pote ». L’acco...

Voilà un bel exemple de grand écart ! Je voudrais insister sur le principe de prudence. Il me semble, lorsque je vous écoute, que vous êtes bien confiants. Oui, nous abordons ces questions la main tremblante, car le choc démographique est là : nous ne sommes plus dans les années 1980, à l’époque des pancartes « Touche pas à mon pote ». L’acco...

Je serai bref, puisque j’ai déjà interrogé le Gouvernement cet après-midi. Cet amendement, déposé par notre collègue Stéphane Demilly, est identique à celui que vient de défendre Mme Boyer. Il vise à nous conduire à nous interroger sur la pression qui pèse sur les maires s’agissant des mariages de complaisance. Alors que cette pression est cro...

Je serai bref, puisque j’ai déjà interrogé le Gouvernement cet après-midi. Cet amendement, déposé par notre collègue Stéphane Demilly, est identique à celui que vient de défendre Mme Boyer. Il vise à nous conduire à nous interroger sur la pression qui pèse sur les maires s’agissant des mariages de complaisance. Alors que cette pression est cro...

M. Olivier Henno. Oui, madame de La Gontrie, c'est un accord politique. Ce n'est pas un gros mot ! Cet accord, dont vous vous êtes moquée, révèle la solidité de la majorité sénatoriale. Peut-être est-ce cela qui vous gêne…

M. Olivier Henno. Oui, madame de La Gontrie, c'est un accord politique. Ce n'est pas un gros mot ! Cet accord, dont vous vous êtes moquée, révèle la solidité de la majorité sénatoriale. Peut-être est-ce cela qui vous gêne…

Cet accord résulte d'un équilibre. Je salue d'ailleurs le travail de nos rapporteurs. Nous avons agi avec prudence en préférant le cas par le cas plutôt que la régularisation systématique. C'est un choix. En tout cas, nous avons avancé et progressé. Ces dispositions ne se substituent pas à la circulaire Valls, elles s'y ajoutent.

Cet accord résulte d'un équilibre. Je salue d'ailleurs le travail de nos rapporteurs. Nous avons agi avec prudence en préférant le cas par le cas plutôt que la régularisation systématique. C'est un choix. En tout cas, nous avons avancé et progressé. Ces dispositions ne se substituent pas à la circulaire Valls, elles s'y ajoutent.

Pour reprendre une image que vous connaissez bien : on est un peu plus gentils avec les gentils ! Enfin, n'allez pas nous donner des leçons en matière d'accord politique, quand vous avez signé celui de la Nupes ! (.)

Pour reprendre une image que vous connaissez bien : on est un peu plus gentils avec les gentils ! Enfin, n'allez pas nous donner des leçons en matière d'accord politique, quand vous avez signé celui de la Nupes ! (.)

Voilà un bel exemple de grand écart ! Je voudrais insister sur le principe de prudence. Il me semble, lorsque je vous écoute, que vous êtes bien confiants. Oui, nous abordons ces questions la main tremblante, car le choc démographique est là : nous ne sommes plus dans les années 1980, à l'époque des pancartes « Touche pas à mon pote ». L'acco...

Voilà un bel exemple de grand écart ! Je voudrais insister sur le principe de prudence. Il me semble, lorsque je vous écoute, que vous êtes bien confiants. Oui, nous abordons ces questions la main tremblante, car le choc démographique est là : nous ne sommes plus dans les années 1980, à l'époque des pancartes « Touche pas à mon pote ». L'acco...

Je serai bref, puisque j'ai déjà interrogé le Gouvernement cet après-midi. Cet amendement, déposé par notre collègue Stéphane Demilly, est identique à celui que vient de défendre Mme Boyer. Il vise à nous conduire à nous interroger sur la pression qui pèse sur les maires s'agissant des mariages de complaisance. Alors que cette pression est cro...

Je serai bref, puisque j'ai déjà interrogé le Gouvernement cet après-midi. Cet amendement, déposé par notre collègue Stéphane Demilly, est identique à celui que vient de défendre Mme Boyer. Il vise à nous conduire à nous interroger sur la pression qui pèse sur les maires s'agissant des mariages de complaisance. Alors que cette pression est cro...