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a rappelé que, pendant la pandémie de grippe, on avait évoqué la possibilité de syndromes de Guillain-Barré ou de sclérose en plaques survenant non seulement au moment de la vaccination, mais aussi des années plus tard. Qu'en est-il exactement ?
a rappelé que, pendant la pandémie de grippe, on avait évoqué la possibilité de syndromes de Guillain-Barré ou de sclérose en plaques survenant non seulement au moment de la vaccination, mais aussi des années plus tard. Qu'en est-il exactement ?
Soulignant l'intérêt de l'exposé de M. John Ryan et des réponses qu'il avait apportées aux questions du rapporteur, Mme Christiane Kammermann a demandé si l'on pourrait tirer des enseignements de l'expérience de la grippe H1N1 pour affiner les moyens de l'analyse des causes de décès.
Soulignant l'intérêt de l'exposé de M. John Ryan et des réponses qu'il avait apportées aux questions du rapporteur, Mme Christiane Kammermann a demandé si l'on pourrait tirer des enseignements de l'expérience de la grippe H1N1 pour affiner les moyens de l'analyse des causes de décès.
a posé une question sur le diagnostic clinique de la grippe et sur les raisons pour lesquelles la vaccination pour l'hiver prochain serait compliquée à organiser.
a posé une question sur le diagnostic clinique de la grippe et sur les raisons pour lesquelles la vaccination pour l'hiver prochain serait compliquée à organiser.
Interrogé par Mme Christiane Kammermann, il a indiqué que le syndrome de Guillain-Barré découle dans trois quarts des cas du virus de la grippe lui-même. Quant à l'effet du vaccin, des études tendent à écarter un lien de cause à effet entre la vaccination et l'apparition du syndrome.
Interrogé par Mme Christiane Kammermann, il a indiqué que le syndrome de Guillain-Barré découle dans trois quarts des cas du virus de la grippe lui-même. Quant à l'effet du vaccin, des études tendent à écarter un lien de cause à effet entre la vaccination et l'apparition du syndrome.
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, récemment, le Président de la République, M. Jacques Chirac, a reçu le directeur général de l'Organisation mondiale de la santé et a proposé l'aide de la France pour les pays exposés au risque de grippe aviaire, en soulignant l'urgence d'une réaction internationale face à l'épidémie. On a retenu de cet entretien que la question n'était pas de savoir si une pandémie de grippe aviaire était possible, mais quand elle se déclarerait. Nous sommes donc face à deux problèmes : premièrement, le problème immédiat de la protection des hommes vis-à-vis des animaux ; deuxièmement, le risque de transmissio...