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...ère titulaire du Ballon d'or féminin, qui a décidé de boycotter la Coupe du monde pour protester contre les inégalités dans le football. La question du statut et des rémunérations vaut aussi pour l'arbitrage, comme le met aussi en valeur le rapport. De façon plus générale, il me paraît essentiel de promouvoir la mixité dans les métiers du football, qu'il s'agisse de l'arbitrage, du commentaire sportif ou de l'encadrement. En ce qui concerne la pratique amateure, le rapport souligne la question centrale des infrastructures. C'est notamment la problématique bien connue de l'inexistence ou de l'insuffisance de vestiaires féminins. Par ailleurs, je suis heureuse de constater que la Coupe du monde bénéficiera d'un dispositif médiatique inédit pour une compétition féminine, puisque beaucoup de ...
Ce débat me rappelle notre rapport sur les femmes et l'automobile, que nous avions publié au moment du Mondial de Paris de 2016. Derrière ce parti pris de communication, le rapport abordait des questions très sérieuses liées notamment à l'égalité et à la précarité des femmes privées de moyen de transport dans certains territoires.
Merci, Madame la ministre, pour vos propos. Concernant la pratique du football amateur, nous constatons que les enfants aiment s'inscrire dans les sports qui ont rencontré du succès dans les médias. Nous pouvons nous attendre à ce que la Coupe du Monde de football féminin exerce un tel effet. Les communes doivent l'anticiper, car le football est un sport très prisé des enfants et il existe d'ores et déjà un manque de place dans les clubs. En outre, j'ai remarqué que les jeunes pratiquant des sports collectifs, et particulièrement le football, q...
Le groupe Rassemblement démocratique, social et européen (RDSE) soutiendra votre avis négatif. Le mécénat n'est pas la panacée pour pallier les faiblesses du FDVA et les coupes budgétaires ! Les modalités du choix d'affectation du 1 % culturel, qui vient d'être évoqué, me semblent cependant devoir être débattues, afin que la culture ne soit pas pénalisée en rapport au sport.
Je vous félicite à mon tour pour votre parcours de femme, de sportive, d'élue et de mère. Votre prédécesseur Thierry Braillard avait énergiquement oeuvré en faveur de l'apprentissage de la natation, mais, sans piscine, l'objectif apparaît difficile à atteindre. Faudra-t-il ressortir les tabourets ? J'aimerais, lors d'une prochaine audition, vous entretenir de l'article 50 de la Charte olympique relatif à la laïcité.
En premier lieu, comme chacun, j'espère que la proposition de loi relative au statut des sportifs de haut niveau sera bien adoptée par l'Assemblée nationale très prochainement. En second lieu, les quartiers populaires ont été évoqués par le biais du plan natation et du service civique. J'aimerais cependant que l'on n'oublie pas le monde rural ! Par ailleurs, a-t-on une idée de la répartition entre garçons et filles des JAMO ? Connaît-on le nombre de filles qui ont choisi le service civiq...
Au nom de mon groupe, je tiens à vous dire bravo, madame la ministre. Vous prenez des décisions importantes, pas forcément appréciées par le sport de haut niveau qui est un enfant gâté. Le CNDS doit servir à ce pour quoi il a été créé et le stade de France pourra inviter d'autres artistes, cela fera très bien l'affaire... Le groupe RDSE a un penchant pour le service civique, son bébé. Je constate qu'il est très bien accompagné. Je pense qu'avec le plan triennal le mouvement amateur, celui qui m'intéresse, retrouvera de la dynamique. Pourrie...
Ma marotte, c'est le sport féminin. À part le championnat de France de handball, qu'avez-vous l'intention de diffuser en la matière ? Onze euros, ce n'est pas très cher, certes, mais c'est plus que l'augmentation du SMIC. Je me félicite que le patrimoine demeure visible par tous, sur le service public, malgré cette exception concernant le petit match France-Argentine. Une pénalité quand on dit « Al Jazeera Sport » ? Mai...
Vous dites vous fonder sur l'audience des événements plutôt que sur le genre. Mais n'y a-t-il pas là un cercle vicieux ? Car si le sport féminin n'est pas mis en avant dans les journaux, il ne gagnera pas d'audience. Un gros titre le jour d'une victoire d'Aurélie Mauresmo ne changera pas la donne. Comment inverser la tendance ? Dans ma région toulousaine, des filles élevées dans l'amour du rugby lisent L'Equipe, journal pourtant réputé « macho ».
J'ai deux questions à vous poser. D'une part je souhaite savoir si la formation journalistique est pluridisciplinaire ou non. D'autre part, ne serait-il pas possible d'« éduquer » le téléspectateur en consacrant une à deux minutes des émissions sportives à des sports peu diffusés ou au sport féminin ?
Le sport est un lieu d'émancipation pour les filles comme pour les garçons, avez-vous dit.
Votre association s'est-elle penchée sur la formation des entraîneurs sportifs ?
La commission de la culture, de l'éducation et de la communication ne traite pas beaucoup du sport. Il existe certes un groupe d'études « sport » mais ce qui concerne le sport est rattaché à d'autres domaines de compétence, le dopage ou les jeux en ligne par exemple.
Vous dites que le monde sportif est moins hermétique. Cela ne tient-il pas au fait que la concurrence n'y est pas la même, puisqu'il existe des disciplines masculines et féminines ?
Je me réjouis de ces rapports à deux voix, de l'enthousiasme et de l'humour des deux rapporteurs. La délégation aux droits des femmes, qui mène actuellement un travail sur sport et femmes, les auditionnera. Pour les associations, le vrai problème est que les préfets, dans les départements, mettent un terme aux emplois aidés. Cela n'aidera pas le bébé du RDSE qu'est le service civique à grandir ! Les associations, qui doivent accueillir 80 % des engagés, disparaîtront, faute de moyens. En outre, je regrette la baisse des crédits destinés aux centres de vacances : en péri...
... ambition, vous avez choisi de créer la Société du Grand Paris et d’accorder une place prépondérante à l’État au sein de son conseil de surveillance, tenant ainsi à distance les élus franciliens, alors même que des pans entiers de leur territoire vont être bouleversés. Vous avez fait le choix de reléguer le STIF au second plan, un organe pourtant compétent et légitime pour l’organisation des transports en Île-de-France. Vous avez en revanche créé les conditions permettant de lui faire supporter le coût de l’exploitation. Tout cela irrite les élus franciliens, qui se sentent dépossédés des décisions, mais qui sont bien conscients de devoir en supporter les conséquences, notamment financières. Le procédé est d’autant plus choquant que les élections régionales ont reconduit une majorité porteus...