Immigration et intégration

Dès que le peuple français a eu la possibilité de s’exprimer, il a inscrit le droit du sol parmi les fondements de notre nation. À la Révolution, tout homme ayant vécu un an sur notre territoire a reçu la possibilité de devenir Français. Pourquoi ? Parce que la France s’est constituée comme une nation politique, plutôt que comme une nation reli...

Monsieur Szpiner, vous semblez avoir de la mémoire politique, puisque vous avez cité Georges Marchais : permettez-moi de vous dire que celui-ci était non pas contre l'immigration, mais contre le capitalisme !

Monsieur Szpiner, vous semblez avoir de la mémoire politique, puisque vous avez cité Georges Marchais : permettez-moi de vous dire que celui-ci était non pas contre l'immigration, mais contre le capitalisme !

La vérité étant rétablie, j'en viens à l'article 3. J'écoute nos débats de manière très apaisée. J'ai notamment écouté attentivement les interventions du président Retailleau et du ministre Darmanin, et je constate qu'ils disent exactement la même chose !

La vérité étant rétablie, j'en viens à l'article 3. J'écoute nos débats de manière très apaisée. J'ai notamment écouté attentivement les interventions du président Retailleau et du ministre Darmanin, et je constate qu'ils disent exactement la même chose !

Ainsi, monsieur le ministre, vous avez expliqué qu'il était impossible de régulariser un étranger sans-papiers si l'employeur ne l'autorisait pas.

Ainsi, monsieur le ministre, vous avez expliqué qu'il était impossible de régulariser un étranger sans-papiers si l'employeur ne l'autorisait pas.

Il n'y a rien de grave à cela. Je le dis en responsabilité et en toute honnêteté intellectuelle. Cela est vrai pour les patrons dans le secteur privé, dans le secteur marchand – plusieurs exemples ont été cités –, mais c'est également vrai dans le secteur public. Monsieur le ministre, puisqu'il faut toujours choisir la voie de l'apaisement, j...

Il n'y a rien de grave à cela. Je le dis en responsabilité et en toute honnêteté intellectuelle. Cela est vrai pour les patrons dans le secteur privé, dans le secteur marchand – plusieurs exemples ont été cités –, mais c'est également vrai dans le secteur public. Monsieur le ministre, puisqu'il faut toujours choisir la voie de l'apaisement, j...

Monsieur Szpiner, vous semblez avoir de la mémoire politique, puisque vous avez cité Georges Marchais : permettez-moi de vous dire que celui-ci était non pas contre l’immigration, mais contre le capitalisme !

La vérité étant rétablie, j’en viens à l’article 3. J’écoute nos débats de manière très apaisée. J’ai notamment écouté attentivement les interventions du président Retailleau et du ministre Darmanin, et je constate qu’ils disent exactement la même chose !

Monsieur Szpiner, vous semblez avoir de la mémoire politique, puisque vous avez cité Georges Marchais : permettez-moi de vous dire que celui-ci était non pas contre l’immigration, mais contre le capitalisme !

Ainsi, monsieur le ministre, vous avez expliqué qu’il était impossible de régulariser un étranger sans-papiers si l’employeur ne l’autorisait pas.

La vérité étant rétablie, j’en viens à l’article 3. J’écoute nos débats de manière très apaisée. J’ai notamment écouté attentivement les interventions du président Retailleau et du ministre Darmanin, et je constate qu’ils disent exactement la même chose !

Il n’y a rien de grave à cela. Je le dis en responsabilité et en toute honnêteté intellectuelle. Cela est vrai pour les patrons dans le secteur privé, dans le secteur marchand – plusieurs exemples ont été cités –, mais c’est également vrai dans le secteur public. Monsieur le ministre, puisqu’il faut toujours choisir la voie de l’apaisement, j...

Ainsi, monsieur le ministre, vous avez expliqué qu’il était impossible de régulariser un étranger sans-papiers si l’employeur ne l’autorisait pas.

Il n’y a rien de grave à cela. Je le dis en responsabilité et en toute honnêteté intellectuelle. Cela est vrai pour les patrons dans le secteur privé, dans le secteur marchand – plusieurs exemples ont été cités –, mais c’est également vrai dans le secteur public. Monsieur le ministre, puisqu’il faut toujours choisir la voie de l’apaisement, j...

Les termes de l’amendement de Mme Boyer et de ses collègues de droite sont très clairs : « Le maire ne peut valider l’attestation d’accueil si le logement de l’hébergeur est situé dans un quartier prioritaire de la politique de la ville ».

Notre groupe, comme d’autres à la gauche de cet hémicycle, ne peut rester indifférent face à la gravité de ces propos.

M. Pascal Savoldelli. Pourquoi les droits de nos concitoyens seraient-ils différents selon qu’ils habitent, ou non, dans un quartier prioritaire de la politique de la ville ?