Les amendements de Philippe GROSVALET pour ce dossier

33 interventions trouvées.

Je vous remercie, monsieur le ministre, de rappeler que cette question ne relève pas du présent projet de loi. Toutefois, puisque le débat est ouvert et que l'on ne peut pas laisser dire tout et n'importe quoi, je souhaite intervenir. Madame Boyer, la langue française est bien faite et certains adverbes peuvent changer le sens d'une pensée. Ai...

J'entends dans cette enceinte certains de nos collègues se revendiquer du radical-socialisme. Pour ma part, je n'ai été toute ma vie que socialiste. Dans leur bouche, le mot « radical » est sans doute faible ; quant au mot « socialiste », il aurait peut-être mérité un autre préfixe, pour être bien compris.

J'entends dans cette enceinte certains de nos collègues se revendiquer du radical-socialisme. Pour ma part, je n'ai été toute ma vie que socialiste. Dans leur bouche, le mot « radical » est sans doute faible ; quant au mot « socialiste », il aurait peut-être mérité un autre préfixe, pour être bien compris.

À propos de cet amendement, qui aborde la question de l'emploi et du chômage, permettez-moi de rappeler la réalité du terrain. Dans mon département, devant chaque entreprise, des panneaux proposent 500, 1 000 postes à pourvoir, signe d'un manque criant de main-d'œuvre, notamment d'ouvriers et de manœuvres, pour soutenir les fleurons de l'indus...

À propos de cet amendement, qui aborde la question de l'emploi et du chômage, permettez-moi de rappeler la réalité du terrain. Dans mon département, devant chaque entreprise, des panneaux proposent 500, 1 000 postes à pourvoir, signe d'un manque criant de main-d'œuvre, notamment d'ouvriers et de manœuvres, pour soutenir les fleurons de l'indus...

J’entends dans cette enceinte certains de nos collègues se revendiquer du radical-socialisme. Pour ma part, je n’ai été toute ma vie que socialiste. Dans leur bouche, le mot « radical » est sans doute faible ; quant au mot « socialiste », il aurait peut-être mérité un autre préfixe, pour être bien compris.

J’entends dans cette enceinte certains de nos collègues se revendiquer du radical-socialisme. Pour ma part, je n’ai été toute ma vie que socialiste. Dans leur bouche, le mot « radical » est sans doute faible ; quant au mot « socialiste », il aurait peut-être mérité un autre préfixe, pour être bien compris.

À propos de cet amendement, qui aborde la question de l’emploi et du chômage, permettez-moi de rappeler la réalité du terrain. Dans mon département, devant chaque entreprise, des panneaux proposent 500, 1 000 postes à pourvoir, signe d’un manque criant de main-d’œuvre, notamment d’ouvriers et de manœuvres, pour soutenir les fleurons de l’indus...

À propos de cet amendement, qui aborde la question de l’emploi et du chômage, permettez-moi de rappeler la réalité du terrain. Dans mon département, devant chaque entreprise, des panneaux proposent 500, 1 000 postes à pourvoir, signe d’un manque criant de main-d’œuvre, notamment d’ouvriers et de manœuvres, pour soutenir les fleurons de l’indus...

Mes chers collègues, j'ai bien noté, ce soir, dans notre assemblée, une forme d'unanimité pour reconnaître que la langue française est un merveilleux vecteur d'intégration, voire d'assimilation. Pourtant, n'en déplaise à certains d'entre vous, les Français n'ont pas toujours parlé français ! Ma propre grand-mère – cela ne date pas d'hier ! – n...

Plus largement, je sais combien les chefs d'entreprise de mon territoire sont soucieux d'assurer la maîtrise de la langue française par tous leurs salariés. Pour l'ensemble de ces raisons, nous demandons le rétablissement de l'article 2.

Mes chers collègues, j’ai bien noté, ce soir, dans notre assemblée, une forme d’unanimité pour reconnaître que la langue française est un merveilleux vecteur d’intégration, voire d’assimilation. Pourtant, n’en déplaise à certains d’entre vous, les Français n’ont pas toujours parlé français ! Ma propre grand-mère – cela ne date pas d’hier ! – n...

Plus largement, je sais combien les chefs d’entreprise de mon territoire sont soucieux d’assurer la maîtrise de la langue française par tous leurs salariés. Pour l’ensemble de ces raisons, nous demandons le rétablissement de l’article 2.