Les amendements de René-Paul Savary pour ce dossier
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Il faut distinguer les sprays remboursés parce qu'ils correspondent à une pharmacopée bien précise et ceux qui ne le sont pas, parce qu'ils sont considérés comme des médicaments de confort. Il n'y a pas de raison pour que des médicaments reconnus, remboursés, sous forme de sprays, ne puissent être remplacés par des génériques.
Il faut distinguer les sprays remboursés parce qu'ils correspondent à une pharmacopée bien précise et ceux qui ne le sont pas, parce qu'ils sont considérés comme des médicaments de confort. Il n'y a pas de raison pour que des médicaments reconnus, remboursés, sous forme de sprays, ne puissent être remplacés par des génériques.
Là-dessus, nous innoverions. Il faut aller de l'avant ! On ne peut répéter qu'il faut faire des économies et exclure toute une forme de médicaments des génériques. C'est comme si l'on excluait les formes injectables ; elles existent bien or, sous forme générique. Tous ces pulvérisateurs, destinés notamment au traitement des bronches, coûtent tr...
Là-dessus, nous innoverions. Il faut aller de l'avant ! On ne peut répéter qu'il faut faire des économies et exclure toute une forme de médicaments des génériques. C'est comme si l'on excluait les formes injectables ; elles existent bien or, sous forme générique. Tous ces pulvérisateurs, destinés notamment au traitement des bronches, coûtent tr...
Au fil des ans, entre les lois de décentralisation, les services nouveaux, les conventions collectives, le déficit s'est creusé sans que l'on adapte notre modèle social. Toujours plus de prélèvements, toujours plus de prestations à crédit, toujours moins de remboursements. On ne fait pas assez de propositions innovantes, on n'exploite pas assez...
Je reviens sur la reconnaissance des maladies professionnelles. Je suis élu d'un département viticole où les ouvriers agricoles subissent affections du canal carpien, lombalgies, etc. Or, les critères de reconnaissance sont mal établis. Comment les améliorer ?
Une instruction commune des dossiers entre départements et caisses, pour le classement en Gir, serait un grand progrès. J'ai essayé de mettre cela sur pied dans mon département, mais au bout de quatre mois, le protocole a été jugé inapplicable. Quoi qu'il en soit, les départements font de la prévention et il faut trouver un terrain d'entente.
J'ai deux questions, une liée à ma profession de médecin généraliste et l'autre à ma qualité de président de conseil général et sénateur. Comment peut-on encore accepter qu'en milieu hospitalier les ordonnances bizones ne soient pas respectées, alors que les conséquences financières sont importantes pour la sécurité sociale ? J'aimerais éga...