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Interventions en commissions de Simon Sutour


1703 interventions trouvées.

La parole est à M. le rapporteur général de la commission des finances.

La parole est à Mme Bernadette Bourzai, pour le groupe socialiste.

La parole est à M. André Gattolin, pour le groupe écologiste.

La parole est à M. Aymeri de Montesquiou, pour le groupe de l'UDI-UC.

Je donne maintenant la parole à M. le ministre délégué, pour répondre aux différentes interventions que nous venons d'entendre.

Merci, monsieur le ministre, de cette réponse très détaillée. Je souhaite également dire quelques mots de l'Ukraine, où je me suis rendu à plusieurs reprises. Je suis d'ailleurs l'auteur de deux rapports consacrés aux relations entre ce pays et l'Union européenne, un que j'ai établi seul et un autre que j'ai élaboré avec notre collègue Gérard ...

Par ailleurs, Jean Bizet et moi-même avons rédigé un troisième rapport, auquel Mme Demessine a fait allusion et qui porte sur les relations entre l'Union européenne et la Russie. Nous nous sommes rendus dans ce pays et nous nous sommes entretenus avec les responsables russes. Un certain nombre de nos collègues l'ont souligné, ainsi que vous-mê...

Je vous remercie, monsieur le ministre, mes chers collègues. Je pense que ces échanges ont été très utiles. La réunion est levée à 17 h 05.

Nous nous sommes rendus en Slovaquie, Colette Mélot et moi-même, à l'invitation du jeune président de la commission des affaires européennes du parlement slovaque.

Ce pays s'affirme sur la scène internationale par une politique étrangère ambitieuse. Il a rejoint l'OTAN en 2004. Il s'implique dans les grands dossiers internationaux et s'engage à l'extérieur, notamment en Afghanistan où il a envoyé plus de 230 soldats, ou en Syrie, où il contribue au démantèlement de l'arsenal chimique. Située géographique...

Oui, il existe. Il y a une culture et un État slovaques. La justice pose problème, car elle est intouchable. Le gros des investissements se fait dans l'industrie automobile, qui emploie une main-d'oeuvre qualifiée et efficace. La France a beaucoup investi.

De grandes différences opposent l'Est et l'Ouest du pays. Bratislava, c'est Vienne, c'est l'ancien empire austro-hongrois. Koice, c'est la frontière ukrainienne.

Ce sentiment anti-rom fait le lit de l'extrême-droite. Le président de la région de Banska Bystrica a été élu sur ce thème. Son parti n'a aucun siège à l'assemblée régionale - il y a deux scrutins distincts. Une réflexion est menée par l'Union européenne sur le sujet des minorités, mais ces efforts sont insuffisants.

Ils reçoivent des aides, sans lesquelles ils ne pourraient pas vivre.

Comme tous les pays de l'ancien bloc de l'Est, la Slovaquie est très favorable au Partenariat oriental. Néanmoins, les pays qui pèsent vraiment sur le règlement de la crise ukrainienne sont ceux qui y ont envoyé leur ministre des affaires étrangères - la France, l'Allemagne et la Pologne.

Il nous reste à autoriser la publication du rapport de M. Bernard-Reymond sur les perspectives de la construction européenne, dont nous avons déjà débattu de manière approfondie.