Interventions en commissions de Sophie Primas

Merci. Nous savons donc que nous devons acheter portes et fenêtres avant le 1er janvier de l'année prochaine...

Comme toujours au Sénat !

C'est un amendement d'appel pour demander des engagements au Gouvernement lors de la séance publique.

Cela serait-il préférable ?

Comme pour le contrat de ruralité...

C'est la fameuse circulaire dont nous parlions...

Nous débattrons bientôt d'une loi sur le droit à l'erreur et sur le retour de la confiance, espérons qu'il en ira de même avec les élus...

Nous saisirons le ministère pour demander le rapport d'évaluation du CITE.

Merci pour cette dynamique présentation.

Merci beaucoup pour ce travail complexe mené dans des conditions difficiles. Comme nous avons eu le débat la semaine dernière, je vous propose de passer directement au vote.

Notre ordre du jour est particulièrement chargé aujourd'hui et, dans le prolongement de la très longue audition, hier soir, du ministre en charge de l'Agriculture, nous commençons nos travaux par notre avis budgétaire sur la mission « agriculture ».

Merci à nos trois rapporteurs pour avis et je passe la parole aux nombreux intervenants sur ce sujet agricole.

Je vais alerter le gouvernement à ce sujet.

Je passe la parole à nos rapporteurs pour avis pour qu'ils puissent répondre aux interventions.

Les travaux de la mission commune d'information sur les pesticides qui avait rendu son rapport (n° 42, 2012-2013) il y a six ans montrait que des produits non autorisés parviennent à franchir les frontières : le sujet est donc pertinent.

Nous en venons à l'examen des amendements au projet de loi de finances annoncés par nos trois rapporteurs pour avis.

Cela ressemble donc à un avis défavorable.

Concernant l'avis sur les crédits, je retiens que vous proposez à la commission d'émettre un avis négatif sur leur adoption.

Donc vous proposez une sagesse défavorable ? Sous cette réserve, la commission s'en remettra à la sagesse du Sénat sur le compte d'affectation spéciale.

Je remercie très vivement Dominique Estrosi Sassone pour le travail considérable qu'elle a effectué dans des conditions pourtant ubuesques. (Vifs applaudissements).