Les amendements de Yannick Bodin pour ce dossier
13 interventions trouvées.
Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, lors de son intervention télévisée du 16 novembre, le Président de la République n’a pas prononcé une seule fois le mot « éducation ». On ne pouvait pas mieux avouer aux Français que l’éducation ne faisait pas partie des priorités du Gouvernement. Pourtant, si un poste budgétaire...
Investir dans l’éducation, c’est permettre à un pays de s’enrichir, notamment par une augmentation des gains de productivité. L’OCDE l’a encore rappelé en septembre dernier. Nous ne pouvons que déplorer l’absence de prise en compte des recommandations de cette instance internationale par le Gouvernement. Je vous le demande en effet, monsieur l...
Vous êtes là pour représenter un lobby ou pour défendre l’intérêt général ?
Monsieur le ministre, tout d’abord, je ne veux pas croire que chaque projet de budget soit l’occasion de cibler le STIF et la région Île-de-France. Il semblerait pourtant que cela devienne presque une manie… Ensuite, la compensation des transferts de charges aux collectivités territoriales par l’actualisation des taux de la TIPP ou des crédits...
Nous connaissons toute l’histoire de l’enseignement privé et de l’enseignement public en France ; c’est une histoire à présent séculaire.
En effet, monsieur le rapporteur spécial ! Au sein de la Haute Assemblée, il nous est arrivé de nous opposer avec une certaine violence sur la question des relations entre enseignement public et enseignement privé. Et puis, à certains moments de l’Histoire, les accords qui sont intervenus ont permis à la « paix », si je puis employer ce terme...
Dans sa récente intervention télévisée, le Président de la République n'a pas prononcé une seule fois le mot « éducation ». M. Fillon, dans son discours de politique générale, ne l'a fait que pour féliciter M. Chatel. C'est dire qu'elle n'est pas la priorité ! A lire ce budget, la feuille de route confiée au ministre tient en peu de mots : fait...
Le Président de la République n'a pas prononcé une seule fois le mot « éducation ». Pour moi, c'est le meilleur investissement de la Nation à condition que ses résultats soient soumis à évaluation. Tout dépend moins des moyens qui y sont affectés que de la bonne répartition de ces moyens. Sur l'école numérique, je suis favorable à l'amendement ...
Je déplore l'organisation de notre travail, qui contraint une partie de nos collègues à ne pas pouvoir assister à nos travaux puisqu'ils examinent en séance publique un texte sur les activités immobilières des établissements d'enseignement supérieur.
Vous assurez la continuité, monsieur le ministre. M. Carle s'en réjouit ; moi, un peu moins... En vous écoutant, j'avais le sentiment que vous teniez le même discours que l'an dernier. On est seulement passé de deux à onze internats d'excellence. Cela dit, je ne m'attendais pas à vous entendre remettre en cause votre philosophie de l'éducation....
On a déjà parlé de la montée en puissance du service civique. J'avais voté la proposition de loi, mais j'ai le sentiment qu'il y a un retard à l'allumage. Je circule beaucoup parmi les jeunes : il est préférable de ne pas réaliser de sondages ! Je suis consterné de constater qu'à peine un étudiant ou un lycéen sur cinquante sait de quoi il s'ag...
En cette après-rentrée, vous devez disposer de données sur la répartition des étudiants entre les formations sélectives et les autres. La demande de plus en plus forte, ces dernières années, pour les premières - classes préparatoires, instituts universitaires de technologie (IUT), médecine... - a-t-elle dépassé les 50 % ? Vous connaissez notre ...
C'est sans doute à M. Chatel qu'il faudrait la poser. Un dernier mot, enfin, sur le dossier du Grand Paris : La structure de l'établissement public qui aura siège au plateau de Saclay se met en place : 31 postes au conseil d'administration, 31 hommes...