Amendement N° 268 rectifié (Rejeté)

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable

Déposé le 4 avril 2013 par : MM. Retailleau, Leleux, Béchu, du Luart, Sido, del Picchia, Mme Giudicelli, MM. Duvernois, Savary, Delattre, Paul, P. Leroy, César, J.P. Fournier, Cardoux, Mme Duchêne, MM. Bordier, Couderc, Fleming, Lenoir, Mme Hummel, MM. Grignon, Huré, Mme Sittler, MM. Magras, Houel, de Legge, Cléach, Mme Mélot, M. Pierre, Mme Deroche.

Photo de Bruno Retailleau Photo de Jean-Pierre Leleux Photo de Christophe Béchu Photo de Roland du Luart Photo de Bruno Sido Photo de Robert del Picchia Photo de Colette Giudicelli Photo de Louis Duvernois Photo de René-Paul Savary Photo de Francis Delattre 
Photo de Philippe Paul Photo de Philippe Leroy Photo de Gérard César Photo de Jean-Paul Fournier Photo de Jean-Noël Cardoux Photo de Marie-Annick Duchêne Photo de Pierre Bordier Photo de Raymond Couderc Photo de Louis-Constant Fleming Photo de Jean-Claude Lenoir 
Photo de Christiane Hummel Photo de Francis Grignon Photo de Benoît Huré Photo de Esther Sittler Photo de Michel Magras Photo de Michel Houel Photo de Dominique de Legge Photo de Marcel-Pierre Cléach Photo de Colette Mélot Photo de Jackie Pierre Photo de Catherine Deroche 

Après l'article 1erbis C

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article 165 du code civil est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Un officier de l’état civil n’est jamais tenu de célébrer un mariage. Si aucun officier de l’état civil n’accepte de célébrer un mariage dans une commune, le maire use de son pouvoir de délégation et désigne, en tant qu’officier de l’état civil ad hoc, un agent public relevant de son pouvoir hiérarchique, sous réserve d’acceptation de ce dernier. »

Exposé Sommaire :

Cet amendement permet au maire et à ses adjoints de jouir librement de leur liberté de conscience, principe fondamental dans notre démocratie française qui a été reconnu par le Président de la République lors de la séance solennelle d’ouverture du 95èmeCongrès des maires : « La conception de la République vaut pour tous les domaines et, d’une certaine façon, c’est la laïcité, c’est l’égalité : c'est-à-dire que la loi s’applique pour tous, dans le respect néanmoins de la liberté de conscience ».

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion