Amendement N° 105 2ème rectif. (Irrecevable)

Mise au point au sujet d'un vote


( amendements identiques : 145 145 598 598 )

Déposé le 12 novembre 2018 par : Mmes Deseyne, Lassarade, Deromedi, Bruguière, MM. Grosdidier, Cambon, Mme Gruny, M. Paccaud, Mme Laure Darcos, MM. Cuypers, Rapin, Mmes Thomas, Chain-Larché, MM. Mandelli, Piednoir, Laménie, Mme Lanfranchi Dorgal, M. Buffet, Mme Duranton, M. Pierre.

Photo de Chantal Deseyne Photo de Florence Lassarade Photo de Jacky Deromedi Photo de Marie-Thérèse Bruguière Photo de François Grosdidier Photo de Christian Cambon Photo de Pascale Gruny Photo de Olivier Paccaud Photo de Laure Darcos Photo de Pierre Cuypers 
Photo de Jean-François Rapin Photo de Claudine Thomas Photo de Anne Chain-Larché Photo de Didier Mandelli Photo de Stéphane Piednoir Photo de Marc Laménie Photo de Christine Lanfranchi Dorgal Photo de François-Noël Buffet Photo de Nicole Duranton Photo de Jackie Pierre 

Après l’article 34

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

Après l’article L. 323-7 du code de la sécurité sociale, il est inséré un article L. 323-... ainsi rédigé :

« Art. L. 323-... – Lors de la reprise du travail à temps complet à l’issue d’une période de reprise du travail à temps partiel pour motif thérapeutique, le salarié retrouve son emploi ou un emploi similaire assorti d’une rémunération au moins équivalente. »

Exposé Sommaire :

Cet amendement vise à garantir aux personnes reprenant un travail à temps complet, après une période de travail à temps partiel pour motif thérapeutique, le retour à leur emploi initial ou à un emploi similaire assorti d'une rémunération au moins équivalente.

Il s’agit d’une mesure d’alignement sur le régime déjà en vigueur pour le congé maternité et le congé du proche-aidant, qui comble un vide juridique mettant en difficulté les personnes atteintes par une maladie chronique évolutive.

La France compte 10 millions de personnes souffrant d'une maladie chronique couverte dans la liste des affections de longue durée de l'Assurance maladie, ce qui représente un coût de 95, 2 milliards d'euros de dépenses de santé, dont une partie est liée aux arrêts maladie.

Sans cette garantie apportée par la loi, les personnes atteintes par une maladie chronique évolutive sont confrontées à une perte de revenus et à terme à la désinsertion professionnelle.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

Déclaré irrecevable au titre de l'article L.O. 111 3 du code de la sécurité sociale par la commission des affaires sociales

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cet amendement.

Inscription
ou
Connexion