Amendement N° 23 rectifié (Retiré)

Organisation et transformation du système de santé

Discuté en séance le 3 juin 2019
Avis de la Commission : Demande de retrait — Avis du Gouvernement : Demande de retrait
( amendement identique : )

Déposé le 3 juin 2019 par : M. Segouin, Mme Eustache-Brinio, MM. Brisson, Longuet, Mme Morhet-Richaud, MM. Revet, Morisset, Mme Deromedi, MM. Genest, Perrin, Raison, Poniatowski, Meurant, Mme Procaccia, MM. Mandelli, Bonne, Laménie, Pellevat, Cuypers, Mmes Canayer, Anne-Marie Bertrand, Renaud-Garabedian, M. Gremillet.

Photo de Vincent Segouin Photo de Jacqueline Eustache-Brinio Photo de Max Brisson Photo de Gérard Longuet Photo de Patricia Morhet-Richaud Photo de Charles Revet Photo de Jean-Marie Morisset Photo de Jacky Deromedi Photo de Jacques Genest Photo de Cédric Perrin Photo de Michel Raison 
Photo de Ladislas Poniatowski Photo de Sébastien Meurant Photo de Catherine Procaccia Photo de Didier Mandelli Photo de Bernard Bonne Photo de Marc Laménie Photo de Cyril Pellevat Photo de Pierre Cuypers Photo de Agnès Canayer Photo de Anne-Marie Bertrand Photo de Évelyne Renaud-Garabedian Photo de Daniel Gremillet 

Alinéa 3, seconde phrase

Après le mot :

nationales

insérer les mots :

et à la validation d’un stage en médecine générale d’une durée de trois mois

Exposé Sommaire :

Cet amendement propose de revaloriser et redynamiser la médecine générale en rendant obligatoire la participation de l’étudiant à un stage en médecine générale d’une durée de 3 mois minimum conditionnant la validation du second cycle d’études. Il a pour avantages de faire découvrir la profession à l’étudiant tout en lui apportant une expérience utile.

C’est aujourd’hui un étudiant sur cinq qui ne découvre pas la médecine générale et qui effectue l’intégralité de son externat en centre hospitalier. Pour renforcer l’intérêt pour la médecine générale et lutter contre la désertification médicale, il est nécessaire de développer des stages en médecine générale dès le deuxième cycle des études médicales. L’attractivité de la profession pourra se renforcer par un accès généralisé à ces stages de deuxième cycle, ce qui n’est malheureusement pas acquis dans toutes les facultés malgré l’obligation règlementaire. Seuls 82 % des étudiants de deuxième cycle peuvent en effet y avoir accès.

L’intérêt de cet amendement est donc de lutter contre la désertification médicale en donnant envie aux étudiants de choisir la médecine générale, et notamment de s’installer en zone rurale.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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