Amendement N° II-429 2ème rectif. (Rejeté)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Défavorable — Avis du Gouvernement : Défavorable
( amendements identiques : II-541 II-541 )

Déposé le 3 décembre 2019 par : Mme Berthet, MM. Henri Leroy, Brisson, Daniel Laurent, Panunzi, Meurant, Mmes Thomas, Chain-Larché, Lopez, Bonfanti-Dossat, M. Laménie, Mme Anne-Marie Bertrand, MM. Kennel, Danesi, Bonne, Morisset, Mayet, Cuypers, Sido, de Nicolay, Segouin, Raison.

Photo de Martine Berthet Photo de Henri Leroy Photo de Max Brisson Photo de Daniel Laurent Photo de Jean-Jacques Panunzi Photo de Sébastien Meurant Photo de Claudine Thomas Photo de Anne Chain-Larché Photo de Vivette Lopez Photo de Christine Bonfanti-Dossat Photo de Marc Laménie 
Photo de Anne-Marie Bertrand Photo de Guy-Dominique Kennel Photo de René Danesi Photo de Bernard Bonne Photo de Jean-Marie Morisset Photo de Jean-François Mayet Photo de Pierre Cuypers Photo de Bruno Sido Photo de Louis-Jean de Nicolay Photo de Vincent Segouin Photo de Michel Raison 

Après l'article 78 quater

Insérer un article additionnel ainsi rédigé :

L’article L. 2336-7 du code général des collectivités territoriales est complété par les mots : « majorée de 0, 5 habitant supplémentaire par résidence secondaire pour les communes dont la population est inférieure à 3 500 habitants et dont la part de la majoration au titre des résidences secondaires dans la population avant application de la présente disposition est supérieure à 30 % ».

Exposé Sommaire :

Cet amendement vise à mieux prendre en compte la réalité des charges qui pèsent sur les petites communes à dimension touristique dans les règles de répartition du Fonds national de péréquation des ressources intercommunales et communales (FPIC).

Du fait de ressources fiscales plus élevées que des communes de même strate de population, les communes supports de station, en particulier en montagne, sont fortement contributrices au FPIC. Le mode de calcul ne tient, en effet, pas compte des charges spécifiques et plus élevées qu’elles supportent (surcoûts liés à l’enneigement, à la pente, à la mise hors gel et à la gestion des risques naturels et à leur activité touristique). Les prélèvements fragilisent leur situation budgétaire en diminuant leurs capacités d’investissement, pourtant indispensables pour maintenir une offre touristique de qualité et renforcer leur attractivité.

Face au changement climatique, les petites communes touristiques devraient pouvoir conserver des moyens d’investir afin de préserver leur vitalité économique, sociale et territoriale, en limitant leur impact environnemental actuel et développant de nouvelles activités.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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