Amendement N° 525 2ème rectif. (Non soutenu)

Mise au point au sujet d'un vote

Avis de la Commission : Défavorable
( amendements identiques : 1010 )

Déposé le 8 novembre 2021 par : Mmes Boulay-Espéronnier, Laure Darcos, M. Bernard Fournier, Mme Belrhiti, MM. Pellevat, Genet, de Nicolay, Pointereau, Brisson, Piednoir, Paccaud, Mme de Cidrac, MM. Laménie, Sido, Mme Dumont, MM. Cambon, Gremillet.

Photo de Céline Boulay-Espéronnier Photo de Laure Darcos Photo de Bernard Fournier Photo de Catherine Belrhiti Photo de Cyril Pellevat Photo de Fabien Genet Photo de Louis-Jean de Nicolay Photo de Rémy Pointereau 
Photo de Max Brisson Photo de Stéphane Piednoir Photo de Olivier Paccaud Photo de Marta de Cidrac Photo de Marc Laménie Photo de Bruno Sido Photo de Françoise Dumont Photo de Christian Cambon Photo de Daniel Gremillet 

Alinéa 2, tableau, seconde colonne

1° Troisième ligne

Remplacer le montant :

95, 3

par le montant :

95, 37

2° Septième ligne

Remplacer le montant :

5, 4

par le montant :

5, 33

Exposé Sommaire :

Le présent amendement vise à permettre aux psychologues des établissements publics de santé de bénéficier d’une revalorisation de carrière au même titre que toutes les professions prenant en charge les personnes à l’hôpital (sage-femmes, infirmiers, personnels de rééducation, etc.).

Les psychologues revendiquent une juste reconnaissance de la dimension soignante de leur pratique à l’hôpital et la revalorisation de leurs rémunérations afin de maintenir une attractivité des postes dans un contexte de difficulté croissante dans leur recrutement.

En effet, malgré les demandes réitérées de la profession, le Gouvernement a maintenu son refus de revaloriser les carrières des psychologues hospitaliers au seul motif que ceux-ci ne disposent pas d’un statut de profession de santé dans le Code de la santé publique.

L’exclusion des psychologues des revalorisations salariales du Ségur de la Santé aboutit à une situation où les psychologues, profession de catégorie A, se voient rémunérés sur la base d’une grille salariale datant de 1991 et voyant leur salaire inférieur ou équivalent à ceux des professions de catégorie B ou C. Les psychologues voient leur rémunération décrocher derrière d’autres professions diplômées à bac+3, malgré leur qualification à bac+5 de plus en plus souvent complétée par un doctorat.

Le présent amendement vise par conséquent à attribuer une enveloppe de 70M€ pour la revalorisation des 16 000 psychologues de la fonction publique hospitalière.

NB:La présente rectification porte sur la liste des signataires.

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