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Vous êtes en train de promouvoir un constat de carence : puisque vous avez été mauvais, il faudrait le rester ! Eh bien, monsieur le ministre, je veux vous donner une chance de vous racheter ! Vous le voyez, notre discussion est tout à fait sympathique. Évidemment, le vote ne sera alors pas conforme, et la France en sera bouleversée ! Nous avo...
Ah bon ?
M. Bernard Frimat. Le groupe UC-UDF ne s'était pas exprimé dans le débat. Sa position rejoint celle de l'UMP, du groupe CRC et du groupe socialiste, favorables à ces dispositions.
Monsieur le rapporteur, il est difficile de commenter votre réponse. Puis-je dire sans vous fâcher qu'elle était relativement sommaire ?
Si vous voulez la compléter, je vous conseille, en toute amitié, la lecture de l'excellent rapport de M. Hugues Portelli, où l'on peut lire ceci : « la transparence la plus élémentaire des opérations électorales devrait conduire à la publication de tous les présentateurs ».
Monsieur le ministre, vous avez prouvé que vous n'aviez aucun argument. Je vous en donne acte. Mais il n'était pas utile de travestir mon propos. Lors de la discussion générale, j'ai simplement dit que nous nous trouvions face à une pseudo-publication. À partir du moment où, grâce à l'heureuse initiative du Conseil constitutionnel, les noms de...
Caricature !
J'ai eu l'occasion de dire dans la discussion générale, au nom du groupe socialiste, que ce projet de loi organique, sur de nombreux points, ne nous posait pas de problème et que nous le trouvions même, à bien des égards, judicieux. Il est par conséquent évident que nous ne pourrons pas voter contre toute une série de dispositions, surtout s'a...
Dites-le à Villepin !
Un délinquant, c'est un délinquant !
Très bien !
Très bien !
a ajouté que les membres de la délégation avaient eu le sentiment, au cours de ce déplacement, d'une accoutumance à la présence ordinaire d'un nombre élevé de travailleurs clandestins et estimé que, seule, une action déterminée de la justice permettrait de remédier à cette situation. Après avoir rappelé que la loi de la République s'appliquait...
a estimé que le développement des capacités d'accueil des CADA devait avoir pour corollaire le renforcement des effectifs des travailleurs sociaux chargés de l'accompagnement des demandeurs d'asile, dont il a salué le dévouement et l'efficacité. Il a observé l'intégration extrêmement rapide des enfants des demandeurs d'asile au sein de la socié...
Se plaçant dans l'optique de la LOLF, M. Bernard Frimat a souhaité connaître le coût de la politique d'éloignement des étrangers mise en oeuvre par le Gouvernement. Sans discuter le bien-fondé ou non de cette politique, il a jugé que sa pertinence ne pouvait être totalement appréciée sans prendre en considération son coût.
M. Bernard Frimat. Monsieur le ministre, puis-je également vous interrompre
Je souhaite compléter les propos de M. de Rohan. Ce matin, dans un quotidien de ma région, j'ai trouvé en page deux une photo du ministre Jean-Louis Borloo, que j'étais d'ailleurs content de revoir à cette occasion, après son absence remarquée dans le débat ! Accompagné de deux maires du Valenciennois, il regardait avec émotion la carte des zo...
Quels que soient leurs auteurs, monsieur le président, même s'il s'agit de ministres !
Soulignant que le problème de l'immigration touche à la fois à la souveraineté nationale et aux droits de l'homme, avec parfois un risque de contradiction entre les deux, qu'il se pose dans chaque Etat membre et au niveau de l'Union européenne, M. Bernard Frimat s'est félicité que la commission d'enquête ait l'occasion d'en débattre avec le vic...
Soulignant que le problème de l'immigration touche à la fois à la souveraineté nationale et aux droits de l'homme, avec parfois un risque de contradiction entre les deux, qu'il se pose dans chaque Etat membre et au niveau de l'Union européenne, M. Bernard Frimat s'est félicité que la commission d'enquête ait l'occasion d'en débattre avec le vic...