1279 interventions trouvées.
Je remercie tout d’abord Mme la ministre de ses explications. Pour ma part, je voterai la proposition de loi de Françoise Gatel. En effet, j’ai eu la grande chance, avant d’être sénateur, d’être élu de Paris, qui est à la fois commune et département. Nous exercions la compétence de médecine scolaire, ainsi que la protection maternelle et infa...
Je remercie tout d’abord Mme la ministre de ses explications. Pour ma part, je voterai la proposition de loi de Françoise Gatel. En effet, j’ai eu la grande chance, avant d’être sénateur, d’être élu de Paris, qui est à la fois commune et département. Nous exercions la compétence de médecine scolaire, ainsi que la protection maternelle et infa...
Cher Alain Milon, je suis désolé de l'outrance qui est venue au secours de cet amendement et je souhaite reprendre le débat au fond, car le sujet est sérieux. Il est évident que la question de la clause de conscience des soignants, en particulier celle des médecins et des sages-femmes, est importante. Et j'ai regardé de près ce que disaient l...
Cher Alain Milon, je suis désolé de l’outrance qui est venue au secours de cet amendement et je souhaite reprendre le débat au fond, car le sujet est sérieux. Il est évident que la question de la clause de conscience des soignants, en particulier celle des médecins et des sages-femmes, est importante. Et j’ai regardé de près ce que disaient l...
Mais je ne voudrais pas, cher Alain Milon, que ce soir, à l’issue de notre vote, l’inscription de la liberté des femmes à accéder à l’IVG dans la Constitution soit reportée au nom des médecins. Jamais les femmes qui défendent avec vigueur les droits des femmes ne s’en sont prises à notre clause de conscience. Alors, ne nous en prenons pas à ce ...
Cher Alain Milon, je suis désolé de l’outrance qui est venue au secours de cet amendement et je souhaite reprendre le débat au fond, car le sujet est sérieux. Il est évident que la question de la clause de conscience des soignants, en particulier celle des médecins et des sages-femmes, est importante. Et j’ai regardé de près ce que disaient l...
Mais je ne voudrais pas, cher Alain Milon, que ce soir, à l’issue de notre vote, l’inscription de la liberté des femmes à accéder à l’IVG dans la Constitution soit reportée au nom des médecins. Jamais les femmes qui défendent avec vigueur les droits des femmes ne s’en sont prises à notre clause de conscience. Alors, ne nous en prenons pas à ce ...
M. Bernard Jomier. « Hercule », ce n'est pas une insulte !
Hercule, ce n'est pas une insulte…
Hercule, ce n’est pas une insulte…
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, depuis des années, l'État transfère à l'assurance maladie des charges qui devraient lui revenir. Cette série de transferts, aussi bien financiers qu'organisationnels, a logiquement pour conséquence la contraction continue des crédits alloués à cette mission. Ce désengagement pose ...
Nous avons par ailleurs trop tendance à oublier qu'il vaut mieux prévenir que guérir. Des études européennes prouvent que, en Allemagne ou en Suède, par exemple, la prise en charge tardive de l'hypertension artérielle ou des soins prénataux a entraîné des coûts très supérieurs pour les finances sociales de ces pays. Nous ne pouvons donc pas ig...
… qui taille en pièces le dispositif proposé d'aide médicale d'urgence. Celui-ci emporterait de graves conséquences, tant pour la santé des individus qu'au regard de la sollicitation de nos établissements hospitaliers, qui sont déjà fragilisés. Nous espérons donc que la majorité sénatoriale en tirera les conclusions qui s'imposent. Nous souscr...
Nous n'en doutons pas…
Les conclusions du rapport de Patrick Stefanini et Claude Evin, que nous attendions tous, sont très claires. La ministre les a rappelées : l'AME est un dispositif utile et globalement maîtrisé. Cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas d'amélioration possible : certaines ont déjà été introduites à la suite du rapport de l'inspection générale des af...
Très bien !
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, depuis des années, l’État transfère à l’assurance maladie des charges qui devraient lui revenir. Cette série de transferts, aussi bien financiers qu’organisationnels, a logiquement pour conséquence la contraction continue des crédits alloués à cette mission. Ce désengagement pose ...
Nous avons par ailleurs trop tendance à oublier qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Des études européennes prouvent que, en Allemagne ou en Suède, par exemple, la prise en charge tardive de l’hypertension artérielle ou des soins prénataux a entraîné des coûts très supérieurs pour les finances sociales de ces pays. Nous ne pouvons donc pas ig...
… qui taille en pièces le dispositif proposé d’aide médicale d’urgence. Celui-ci emporterait de graves conséquences, tant pour la santé des individus qu’au regard de la sollicitation de nos établissements hospitaliers, qui sont déjà fragilisés. Nous espérons donc que la majorité sénatoriale en tirera les conclusions qui s’imposent. Nous souscr...
Nous n’en doutons pas…