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La situation de ces médecins est particulière : ils n'appartiennent pas à la fonction publique.
Ce sont les grands groupes qu'il faut incriminer. Les produits importés outre-mer sont beaucoup plus sucrés.
La mention manuscrite, sur un tel sujet, est essentielle. Lors de la diffusion des génériques, les médecins ont été exclus du circuit au profit des pharmaciens. Les médicaments biosimilaires sont utilisés dans des thérapeutiques très lourdes, où l'intervention du médecin est fondamentale. Je ne vois pas en quoi prévoir une mention manuscrite se...
Une préoccupation du syndicat national de l'industrie des technologies médicales (Snitem)...
Je soutiens cet amendement. L'avis des conférences régionales de santé, qui reste consultatif, n'est pris en compte que si les ARS sont à l'écoute. C'est dommage car ces conférences fournissent un travail de qualité, insuffisamment reconnu.
Tous groupes confondus, nous avons demandé beaucoup de rapports dans le cadre de ce PLFSS : cela montre que nous sommes parfois forcés d'emprunter ce biais pour sortir du carcan que nous imposent les règles d'irrecevabilité de notre règlement.
N'est-ce pas le rôle des ordres professionnels ? Pourquoi donner la primauté à la sécurité sociale alors qu'on se plaint de son immixtion dans tous les domaines ?
J'entends bien votre argumentation, mais quid de l'alinéa 2 de cet article qui dit : « Dans le cadre de ces expérimentations, les médecins peuvent, après évaluation, orienter vers des consultations de psychologues libéraux(...) » ? Pourquoi ne pas citer les pédiatres et les pédopsychiatres ?
Notre commission d'enquête « Dérives thérapeutiques et dérives sectaires : la santé en danger » avait auditionné Bernard Accoyer qui avait présenté un amendement sur la professionnalisation des psychologues libéraux. Cet article ne me satisfait pas vraiment.
Je suis tout à fait d'accord avec M. Barbier.
L'hélicoptère n'est pas toujours la bonne solution pour répondre à l'urgence : bien souvent, les conditions météorologiques empêchent les vols.
Un hommage à Mendès France, qui recommandait de faire boire du lait aux enfants ?...
Si d'aventure vous êtes élus, vous serez libres de supprimer cette réforme.
Merci pour eux !
Mais le service public hospitalier a le droit d'avoir un secteur privé.
Dans ce cas, les dépassements sont déjà impossibles !
C'est la logique !
Si nous parlons de solutions antiseptiques, cela ne posera aucune difficulté. Cela se pratique d'ailleurs déjà.
L'intervention de la Mecss serait bienvenue. On oublie cependant le rôle de la faculté de médecine : les étudiants doivent faire des stages chez les généralistes. C'est sans doute la clé du succès.
J'avais dit en son temps à Bernard Kouchner qu'il était beaucoup plus difficile d'inciter que d'interdire. Sur 19 000 étudiants en médecine, 5 000 se destinent à la médecine générale. N'allons pas les décourager avec ces amendements. En outre, nous payons aujourd'hui la baisse du numerus clausus décidé il y a une bonne dizaine d'années.