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Il serait urgent de traiter la question de la rémunération des praticiens à l'hôpital public. On observe tout et n'importe quoi et il est aujourd'hui très difficile de parvenir à recruter des médecins dans certaines spécialités. Une directrice d'hôpital m'a récemment expliqué qu'elle était prête à offrir un salaire de 10 000 euros nets par mois...
Il s'agit d’un amendement de repli, au cas où, par malheur, mon précédent amendement ne serait pas accepté.
Les grilles tarifaires pour les praticiens hospitaliers ne sont plus respectées. Dans certaines spécialités, les salaires demandés par les praticiens libéraux sont très élevés. La situation devient extrêmement dissuasive pour les praticiens hospitaliers.
Non, je les retire, monsieur le président. Mme la ministre a annoncé qu’elle préparait un projet de loi de santé publique. Il faudra que, lors de son examen, nous revenions sur le problème des boissons énergisantes car, comme cela a été souligné par plusieurs d’entre nous, il existe un lien de causalité entre une consommation importante de ces...
Il faut bien distinguer université et ville universitaire.
Je suis d'accord avec la mesure contenue dans l'amendement n° 239 rect. à condition que l'Agence nationale de sécurité sanitaire et la Haute Autorité de santé, et non pas l'assurance maladie qui pourrait être juge et partie, soient chargées d'établir le répertoire d'équivalences thérapeutiques.
Je suis très inquiète des propos tenus en séance publique par le premier signataire de cet amendement, qui laissent penser que le recours aux plantes médicinales pourrait agir efficacement dans le traitement de pathologies lourdes. Les travaux que mènent actuellement la commission d'enquête sur l'influence des mouvements à caractère sectaire da...
Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, l’article 23 vise à relever les droits d’accises sur les bières et à affecter le produit de cette hausse au régime vieillesse des non-salariés du régime agricole, ce qui est plutôt louable en soi. La proposition est pourtant impressionnante, puisqu’il s’agit d’une augmentation de 1...
Je présente cet amendement au nom de mes collègues et en particulier de ma collègue alsacienne Patricia Schillinger. Cet amendement tend à éviter que les brasseries PME indépendantes souffrent d’une distorsion de concurrence lorsque leur production totale franchit le seuil de 200 000 hectolitres du seul fait qu’elles brassent, en plus de leurs...
Cette question est très importante. Une telle augmentation de taxe concentrée exclusivement sur les bières est vécue comme une injustice profonde, alors même que nous devrions mener un débat de fond sur la taxation de l’ensemble des boissons alcoolisées et présenter, en regard de cette fiscalité, des mesures de santé publique.
Mme Catherine Génisson. Je fais miens les arguments de M. Kerdraon et, en réponse à notre collègue André Reichardt, je me contenterai d’ajouter que, au-delà de l’alcoolisme aigu et chronique ainsi que des enjeux de santé publique relatifs aux jeunes, la bière pose des problèmes spécifiques. En particulier, certaines pathologies cardiaques comme...
Mon cher collègue, c’est une pathologie que les cardiologues reconnaissent dans le Nord-Pas-de-Calais et qui est tout de même plutôt spécifique à l’intoxication aiguë et chronique à la bière.
Evitons d'assimiler totalement les médicaments et les dispositifs médicaux : les problématiques sont différentes.
Tout en me ralliant à l'argument du rapporteur, je suis sensible à la situation des centres de santé.
Quand un professionnel est hors la loi et que son comportement rejaillit sur tous, il doit être puni par la loi.
Si les rapports régionaux sont une chose, il est surtout important de disposer de comparaisons nationales afin d'évaluer, non seulement l'offre de soins, mais aussi les besoins de soins.
Le Gouvernement a pris le sujet à l'envers. Il aurait fallu un rapport préalable, à la suite duquel on aurait décidé de taxer selon les concentrations en alcool par exemple. Peut-être les brasseurs se font-ils moins entendre que les producteurs d'autres boissons ? Cette mesure touchera essentiellement deux régions, qui seront handicapées dans l...
Il faut tenir compte du niveau de production, et partir du principe qu'on ne dépasse pas 80 % d'augmentation, car 160 %, c'est excessif !
Les petits brasseurs ne se satisfont pas du texte de l'Assemblée nationale. Ils peuvent accepter une augmentation de taxation raisonnable. Proposons donc 80 %, et non 160 %, et gageons la différence en taxant les boissons énergisantes, ou bien l'huile de palme.
Mais ces produits sont nocifs pour la santé publique ! Nous pouvons la faire passer à 100 euros. On nous reprochera ensuite de ne pas avoir retiré ces produits du marché...