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Nous ne proposons pas d’obliger les gens à s’installer en milieu rural. Il s’agit simplement de demander aux étudiants, en dernière année du troisième cycle, d’être des médecins adjoints épaulés par un maître de stage et par l’hôpital. En effet, ils pourront aussi travailler dans un service hospitalier, ils n’interviendront pas obligatoirement ...
S’ils ont des problèmes, ils pourront se tourner vers ces relais.
La responsabilité des territoires nous paraît insuffisamment énoncée dans cet article et nous souhaitons optimiser l’estimation des besoins en santé du territoire en y associant tous les acteurs régionaux.
Non, je le retire, madame la présidente.
Le n° 239 également.
Les déserts médicaux sont le coeur du problème : qu'on les appelle ou non médecins adjoints importe peu, mais il faut trouver une solution pour organiser un exercice médical en dernière année, sous l'autorité d'un maître de stage, qui peut également appartenir à la CPTS. La question se règle facilement, pas besoin d'obliger les jeunes médecins,...
Le n° 542 est rédigé dans le même esprit. Notre rédaction me semble intéressante et très proche de ceux de nos collègues !
L'étudiant relève bien de l'hôpital de proximité, mais si dans le projet territorial de santé, une carence est constatée dans une maison de santé, il pourra y être affecté.
Je souhaite être associé à l'élaboration de ce nouvel amendement, puisque le mien est tout à fait dans le même esprit.
Madame la présidente, monsieur le secrétaire d’État, mes chers collègues, la question du cannabis, dont nous débattons aujourd’hui, sur l’initiative de Mme Esther Benbassa et du groupe CRCE, représente un enjeu majeur de santé publique. Avant d’aborder la question du cannabis thérapeutique, j’évoquerai le cannabis récréatif, substance illicite...
On ne peut qu'être favorable au n° 645, qui vise à obliger les étudiants de troisième cycle à réaliser au moins deux stages pratiques. Néanmoins, cela ne règle pas le problème, dans les zones sous-denses ou ailleurs, du manque de médecins dans les maisons de santé.
Ils ne seront pas toujours médecins adjoints ! Et ce ne sera pas toujours le même étudiant qui sera concerné.
Dans ce projet de loi, tout n'est pas parfait, mais la suppression du numerus clausus devrait engendrer une augmentation du nombre d'étudiants de 20 % environ. La réforme de l'épreuve classante permettra d'envoyer plus d'étudiants dans les territoires. L'organisation territoriale et les stages pourraient être davantage orientés vers les généra...
Après leur internat, les étudiants se préparant à la médecine générale pourraient faire leur stage dans des maisons de santé.
Il est utile de trouver des solutions pour faire découvrir aux étudiants l'exercice de la médecine en milieu rural, en lien avec les collectivités locales. Les maisons de service au public (MSP) offrent souvent des hébergements. Je suis donc plutôt favorable à cet amendement.
Il faut offrir aux étudiants la possibilité de faire des stages chez des médecins généralistes après l'internat. C'est ainsi qu'on parviendra à augmenter le nombre de médecins. Je voterai pour cet amendement.
Je suis favorable à cet amendement. Les remplaçants rendent service, mais il est important qu'ils n'y passent pas toute leur vie. Certains médecins retraités font aussi des remplacements. Il ne faudrait pas que cette mesure les en empêche. Enfin, en dernière année de troisième cycle, la possibilité d'être médecin adjoint serait aussi une forme ...
Je souhaitais en réalité traiter de la délivrance de ces produits.
Je le retire pour le retravailler d'ici la séance publique. L'amendement COM-59 est retiré.
Dans les secteurs ruraux, les CPTS me paraissent importantes pour assurer la continuité des gardes et des visites médicales tout au long de la journée. Le financement des coordonnateurs est aussi une question centrale alors que ce n'est pas facile de faire une CPTS. Sur les GHT, les communautés apportent du liant avec les CHU mais cela me sembl...