cosignée par Colette Mélot, Esther Sittler, Frédérique Espagnac, Jacqueline Gourault, Natacha Bouchart, Sophie Joissains, Alain Milon, André Dulait, Bernard Fournier, Bruno Retailleau, Charles Revet, Christian Namy, Éric Doligé, Francis Delattre, Gérard Bailly, Gérard Roche, Henri Tandonnet, Hervé Marseille, Jean Boyer, Jean-Claude Merceron, Jean-Jacques Lasserre, Jean-Marie Bockel, Jean-Paul Amoudry, Joël Bourdin, Joël Guerriau, Michel Savin, René Beaumont & Yves Détraigne
Mesdames, Messieurs, Ces dernières années, le nombre de contrôles routiers s'est fortement accentué, entrainant une nette augmentation des suspensions et des annulations de permis de conduire.
Jusqu'en 2003, un automobiliste ayant fait l'objet d'une suspension de permis avait la possibilité de demander au juge statuant sur son dossier l'autorisation de pouvoir continuer à conduire dans le cadre de son activité professionnelle.
La loi n° 2003-495 du 12 juin 2003 renforçant la lutte contre la violence routière a considérablement restreint le champ d'application de ce dispositif, le juge n'ayant plus la possibilité d'accorder un permis blanc, notamment dans le cas des infractions les plus graves.
Si la loi n° 2003-495 du 12 juin 2003 ne saurait être remise en cause dans son principe, il convient aujourd'hui de l'aménager pour endiguer ses effets pervers.
En effet, faute de possibilité d'aménagement des peines, de nombreux professionnels de la route (chauffeurs, taxis,...
1 commentaire :
Le 16/09/2012 à 09:47, DARGELLY Guy a dit :
Bonjour,
Je n'ai malheureusement pas pu suivre les débats sur votre proposition d'amendement concernant la SA.HLMisation de la SOGINORPA/EPINORPA autrement dit Maisons et Cités et il me serait très agréable de me communiquer tous les tenants et aboutissants relatifs à votre démarche.
D'avace merci.
Cordialement,
GD
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