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Je rejoins mes collègues. La santé doit être la priorité. Cet amendement changerait la nature du CET, qui permet d'anticiper le départ à la retraite. On monnaiera bientôt les congés payés dus par l'employeur !
Où est la rigidité ?
Cela peut causer des accidents du travail.
Mes chers collègues, je serai brève : je souscris pleinement aux propos du président Guillaume.
Les périmètres en question sont définis par arrêté préfectoral, me semble-t-il, et non par le code du travail.
La pénibilité au travail va être reconnue, quand elle ne l'est pas déjà. Où est le problème ?
Le salarié doit choisir son temps de pause lui-même ! Il a quand même le droit de prendre quelques minutes pour aller fumer une cigarette ! Nul besoin de légiférer.
Je souhaite savoir si la réunion de la commission des affaires sociales qui devait se tenir durant la suspension du dîner est maintenue.
En effet. L'arrêt causé par un accident ne supprime pas les droits aux congés payés. L'amendement n° 66 est retiré.
Il faut aussi prendre en compte les aidants. L'amendement n° 67 est adopté. L'amendement n° 323 devient sans objet.
Et pourquoi ? Ne donner la possibilité de prendre des congés qu'à l'ouverture des droits revient à dire que le salarié n'est pas payé entre son embauche et l'ouverture de ses droits ! Il travaille pourtant.
La déclaration unique d'embauche part à l'Urssaf dès le premier jour du salarié dans l'entreprise.
On ne favorisera pas l'embauche en incitant les salariés à travailler plus et en instaurant des semaines de 40, 45 ou 48 heures !
L'esprit de la loi Aubry était le partage du temps de travail, pas son extension.
Quelle est la teneur de cette précision ? Je ne comprends pas.
L'entretien est déjà prévu pour les congés de longue maladie. Pourquoi l'étendre au congé de solidarité familiale, qui est moins long ?
Une absence de plus de six mois donne la possibilité à l'employeur de proposer le poste à quelqu'un d'autre.
Cela met en danger le poste de travail.
La notion de poste de travail relève de l'employeur et non du salarié. L'employeur pourra mettre à profit l'entretien professionnel pour confirmer officiellement au salarié qu'il a proposé son poste à un autre.
L'employeur n'est pas toujours de bonne foi !