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M. François Patriat. C'est un sentiment que nous ne connaissons pas !
M. François Patriat. C’est un sentiment que nous ne connaissons pas !
M. François Patriat. C’est très généreux !
Il a été adopté tout de même !
Il a été adopté tout de même !
Dans la mesure où cette proposition de résolution européenne émane du groupe Rassemblement des démocrates, progressistes et indépendants, nous aurions souhaité que notre commission désigne comme rapporteur un membre de notre groupe.
Je serai beaucoup plus bref, l’amendement étant similaire aux précédents. Il vise à faire bénéficier les professions libérales de la majoration de 10 % de la pension pour trois enfants ou plus.
Monsieur le président, messieurs les ministres, mes chers collègues, le choix que nous allons opérer ce soir est un choix de responsabilité et un choix d’efficacité. Inutile d’être vindicatif, agressif ou caricatural, il y va de l’avenir des générations futures, il y va de l’équilibre de nos systèmes sociaux. Monsieur le président, notre asse...
Je vous rappelle que l’ensemble de notre débat a donné lieu à presque cinq mille amendements, à dix jours de séance – un nombre élevé, y compris si l’on regarde les précédents débats que nous avons eus sur une réforme des retraites. Cette première mi-temps s’est déroulée dans un climat plutôt serein : l’opposition souhaitait montrer son soutie...
Seconde mi-temps, à partir du 7 mars, où les masques sont tombés.
M. François Patriat. La volonté de l’opposition n’était pas tant de débattre, ce qu’elle a pourtant affirmé pendant des jours et des jours, c’était plutôt de faire en sorte que nous ne puissions pas aller au bout de l’examen de ce texte et le voter.
Vous l’avez dit clairement, tant dans cette assemblée que dans les couloirs et lors de la réunion de la conférence des présidents. Vous ne vouliez pas que ce texte soit légitimé par un vote du Parlement. Or à qui appartient la légitimité dans ce pays ?
La légitimité appartient au Parlement, pas à la rue.
Vous pouvez dire ce que vous voulez, mais c’est au Parlement qu’il revient de décider. Il n’est pas toujours facile d’affronter la rue, de voter des textes impopulaires, d’appeler à l’effort et à la raison. §Il y a des gens, ici, qui ont pris leurs responsabilités. Nous avons fait le choix de la responsabilité et de l’efficacité. Y a-t-il eu ...
M. François Patriat. Le Président de la République ne méprise pas les syndicats : il les a reçus au printemps, il a fait en sorte qu’ils entrent au Conseil national de la refondation, mais la CGT a refusé de participer à la rencontre organisée à l’Élysée.
Elle a refusé ! Ne dites donc pas qu’il y a mépris.
Il n’y a pas eu non plus de brutalité.
Ce texte est débattu depuis quatre ans, ici et en dehors de cette assemblée, lors de rencontres avec tous les syndicats. Ce débat a été mené au fond par M. le ministre du travail et par Mme la Première ministre, ce qui a permis d’aboutir à des avancées notables : les syndicats les reconnaissent en privé, mais ils n’ont jamais voulu le faire en ...
M. François Patriat. … puisque 80 % d’entre eux estiment qu’il sera voté : ils savent très bien que ce texte est nécessaire pour assurer la survie de notre système de retraite.