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Interventions de Guy Fischer
38783 interventions trouvées.
Pour le moment, je propose que les négociations soient non pas bipartites, mais tripartites ! Mais ce n'est pas à moi de faire votre travail, monsieur le ministre ! En fait, tous voudraient appartenir à un super secteur 2, sans contraintes tarifaires et avec prise en charge partielle des cotisations sociales. Car, il faut le dire, les chirurgi...
Le problème se pose, alors, d'autant plus ! Il serait intéressant d'avoir des précisions sur l'évolution des consultations des médecins généralistes notamment, et ce dans les jours et les mois à venir. Nous y verrions plus clair. De toute évidence, comme l'a dit François Autain, il s'agit de régler des problèmes qui, autrefois, ont été pour v...
Il n'y a pas de petites économies !
Tout à fait !
Cela dépend pour qui !
Heureusement !
Demain !
Monsieur le président, cette demande de réserve va retarder un débat intéressant.
Mais, monsieur le président, on vient de nous distribuer un amendement n° 424, tendant à insérer un article additionnel après l'article 18, ...
... alors que, effectivement, nous discutions de l'article 16 !
Il a raison !
Monsieur le président, vous deviez me donner la parole, mais l'article additionnel est maintenant réservé !
Permettez-moi au moins de remercier le Gouvernement !
Je tiens en effet à remercier M. Philippe Bas de sa mansuétude, ...
...de son extrême mansuétude, même, envers la Haute Assemblée.
Nous nous interrogions sur ce nouvel amendement, dont le dépôt était annoncé dans Les Échos dès lundi !
Vous accordez tout aux chirurgiens et rien aux personnes âgées! Deux poids, deux mesures : en voilà la démonstration !
Mais oui ! Mais nous n'en avions toujours pas eu connaissance. Nous en étions troublés, car vous connaissez le sérieux avec lequel nous travaillons. Or M. le ministre délégué vient de demander la réserve de cet amendement tendant à insérer un article additionnel, afin que nous ayons, nous a-t-il dit, la possibilité de l'étudier...
Permettez-moi de constater qu'une fois de plus, monsieur le président, on se moque de la Haute Assemblée !
Les conditions de travail deviennent insupportables et nous protestons véhémentement !
