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Le gel aurait pu être levé après le mois de mai.
J'ai écouté attentivement votre exposé, comme tous les sénateurs présents. Vous vous adressez, vous le savez, à un public conquis. Notre commission n'était pas favorable à la hausse de la TVA sur le livre. Vous avez évoqué le maintien du taux de 7 % durant quelques mois pour alimenter un fonds structurel. Qui dit structurel, dit une aide perman...
Merci, madame la présidente, d'avoir rappelé les initiatives du Sénat sur le livre. En mars, nous avions cru comprendre que les négociations entre auteurs et éditeurs étaient près d'aboutir, mais à vous entendre, il semble que des débats de fond aient ressurgi, plutôt que de simples problèmes de rédaction. Qu'en est-il ? Les éditeurs, que nou...
Monsieur Gallimard, le soutien des éditeurs au fonds d'aide aux libraires serait-il seulement moral ou aussi financier ? Étant attachés à nos librairies, nous assistons comme vous, non sans inquiétude, à l'arrivée du monstre Amazon. Mais force est de reconnaître que l'un de ses grands avantages est son système de distribution qui permet au con...
Quel est le coût des espaces ludiques pour les collectivités ? Pouvez-vous nous dire où ils ont été créés ?
Je parlerai franchement : ce rapport a demandé un gros effort... Il faut s'interroger sur sa pertinence. Était-il bien sage d'examiner un texte dont la mise en application n'est pas achevée ? M. Assouline et moi-même étions-nous les bonnes personnes pour le faire ? Je n'ai pas été très heureux pendant ce débat, je ne voulais pas rendre mon coll...
Il y a tout de même un constat qui nous réunit : la dictature de l'Audimat n'a pas disparu, les dirigeants de l'audiovisuel ne sont, hélas !, pas encore passé au Qualimat.
Sur la méthode, d'abord, je regrette que nous n'ayons pu hier aboutir au texte définitif du rapport, quitte à ajouter des contributions ou des opinions dissidentes, afin de borner l'intervention de la commission à une autorisation de publication. Nous ne voterons sans doute pas la future version du rapport. Celui-ci est riche, intéressant, mais...
les départs sur les cinq ans produit bien 150 000 postes de plus. Ne jouons pas sur les mots ! En trouvera-t-on les moyens dans la période budgétaire actuelle ? J'en doute... Le rapport fournit beaucoup d'informations. Les personnes auditionnées ont naturellement parlé de ce qui ne va pas... mais tout ne va pas si mal dans l'éducation national...
Nous le mentionnerons.
Le travail n'a pas été inintéressant. Le débat n'est pas terminé. La loi n'a pas produit encore tous ses effets et notre contrôle intervient selon moi un peu tôt. Les modifications technologiques sont tellement rapides actuellement que nos commissions auront à remettre ces sujets à l'étude. Le présent document marque une étape. Ce qui m'a le p...
Tout à fait !
Nous nous livrons à un exercice délicat. Il ne s'agit pas de reprendre le débat sur la loi, qui a suscité des positions divergentes, mais, dans un esprit républicain, de s'assurer que la loi votée par le Parlement est correctement appliquée et de voir si des difficultés qui n'avaient pas été anticipées posent des problèmes d'application. J'ai ...
La révision du mode de financement était une façon de protéger les chaînes publiques contre la tyrannie de l'audimat. Or, à vous entendre, la préoccupation majeure reste d'attirer le téléspectateur en début de soirée, et de le conserver. Cela signifie-t-il que le souci de l'audimat reste premier, hors toute question de financement ? Les critère...
Si je vous entends bien, il ne faut pas trop s'attacher à l'heure de début de la soirée, d'autant que la loi a permis d'améliorer la qualité des programmes ? Mais la pratique du parrainage ne peut-elle apparaître comme une tentation de retour vers la publicité ?
Entendons-nous bien, nous sommes tous convaincus de la nécessité d'une chaîne jeunes. Le problème serait plutôt que son identité est confuse.
J'ai entendu votre insistance sur les personnalités qualifiées. Nous étions nombreux au Sénat à souhaiter qu'elles puissent participer aux scrutins. Si l'option n'a pas été retenue, c'est qu'il n'y avait pas consensus dans la communauté universitaire. Les choses ont-elles évolué ?
Le téléspectateur se fixe toute la journée, ou la soirée, sur une même chaîne, avez-vous dit. Or toutes les bonnes émissions ne peuvent être concentrées sur une chaîne unique : comment inciter le spectateur à s'intéresser aux autres ? Comment présentez-vous l'offre globale de vos chaînes ?
Pour conclure, je constate que malgré les abominables conditions dans lesquelles le président de France Télévisions est nommé, il est un homme heureux et libre.
Notre décision collective me paraît sage...