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Reprenant la distinction entre les traditions britannique et italienne de supportérisme, M. Jean-François Picheral a estimé que le dialogue avec les supporters avait fait la preuve de son efficacité dans les clubs du sud de la France, où les associations de supporters sont davantage organisées.
pour siéger au sein du conseil d'administration de la société Radio France ; - M. Louis de Broissia pour siéger au sein du conseil d'administration de la société France Télévisions ;
pour siéger au sein du conseil d'administration du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou (application de l'article 4 du décret n° 92-1351 du 24 novembre 1992 modifié par l'article 2 du décret n° 2000-931 du 22 septembre 2000) ;
s'est étonné, au regard de la politique affichée par les pouvoirs publics d'intensification de la lutte contre les infections nosocomiales, que trois hôpitaux publics des environs d'Aix-en-Provence aient dû fermer leurs services de stérilisation, qui n'étaient plus aux normes, pour en confier l'activité à des entreprises extérieures. Il a estim...
a estimé qu'il convient au contraire d'aider les services des hôpitaux publics à assurer une prestation de qualité, avant que leur vétusté n'oblige à les fermer.
a demandé si les pratiques de prescription des médecins psychiatres sont différentes de celles des médecins généralistes pour ce qui est des durées de traitement.
a relevé que les médecins généralistes se heurtent souvent à la réticence des patients à qui ils ont conseillé de consulter un médecin psychiatre, ceux-ci préférant se voir prescrire des médicaments psychotropes par leur médecin généraliste, plutôt que de laisser croire qu'ils sont atteints par une maladie mentale en allant consulter un psychia...
La question !
Eh oui !
N'importe quoi !
a souhaité connaître la date de lancement de la TNT sur le littoral méditerranéen.
C'est vrai ! Et le conseil général, lui, il va payer !
Monsieur le président, mesdames, messieurs les ministres, ma question s'adresse à M. le Premier ministre. Avant toute chose, je vous prie d'excuser notre collègue Jean-Noël Guérini, qui est retenu par le conflit de la SNCM à Marseille. Mais je l'associe à ma question !
Nous avons pu constater que l'on a laissé un préfet de région annoncer une décision grave et désastreuse de conséquences, à savoir la privatisation totale et sans concertation de la Société nationale maritime Corse-Méditerranée, la SNCM, pour ensuite le désavouer sous l'effet d'un durcissement du mouvement social.
Faut-il rappeler au Gouvernement que la qualité de la desserte maritime de Marseille et de la Corse dans la continuité territoriale est une question fondamentale pour les usagers et les habitants attachés au maintien du service public ? Aujourd'hui, l'un des acteurs les plus importants de la mise en oeuvre de cette politique, la SNCM, se trouv...
M. Jean-François Picheral. ...mais, contrairement à ce que l'Etat laisse croire depuis longtemps, cette situation n'est pas compromise.
Il est d'ailleurs curieux qu'un propriétaire qui cherche à vendre son bien s'attache à ce point à en diminuer la valeur ! Ce débat exige donc un langage de vérité et d'honnêteté.
L'actif de la société atteint 500 millions d'euros, les fonds propres 110 millions d'euros, et les pertes de 2004 sont estimées à 30 millions d'euros. Si le résultat annuel est affecté par la hausse du carburant et par une baisse de l'activité touristique, nous ne voulons pas pour autant qu'en soient tirées des conclusions hâtives poussées par...
L'Etat aurait ainsi versé 113 millions d'euros pour apurer ses dettes passées et permettre au repreneur - qui injecte, lui, seulement 35 millions d'euros - de licencier 400 personnes. Aujourd'hui, vous nous proposez une minorité de blocage à 34 %, ...
... mais vous savez que c'est un pouvoir symbolique. Vous réduisez la participation des repreneurs Butler et Connex-Véolia de 2 %.