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Je vous remercie, Monsieur le ministre, pour la sincérité sans complaisance de votre exposé. Je signale à mon collègue Beaumont, que nous achetons déjà d'une certaine manière des 4L à l'étranger : ce sont les Logan qui, nous expliquait Louis Schweitzer au moment où Renault ouvrait sa première unité de production en Roumanie, devaient être réser...
Je partage les interrogations et les inquiétudes du rapporteur. Je constate avec elle que les cartes « talents et compétences » ne donnent pas les résultats attendus. Les conditions d'obtention de ces cartes sont tellement difficiles qu'il n'en est attribué que quelques unités par pays. Il serait sans doute utile que la commission, à travers c...
a évoqué l'attentat qui avait frappé certains personnels de l'ONU à Kaboul au moment où une délégation sénatoriale conduite par le Président Gérard Larcher, et dont il faisait partie, s'y trouvait. Il s'est interrogé sur l'opportunité de la décision prise par l'ONU de rapatrier certains de ces personnels. Puis il a souhaité connaître les condit...
a regretté que le caractère artificiel et biaisé de la procédure de nomination par l'exécutif ne permette pas au candidat de défendre efficacement son projet. Il a ensuite souhaité savoir si les entretiens du candidat avec le Président de la République avaient également porté sur la présidence de France Inter et l'identité de son futur titulaire.
l'a interrogé sur l'opportunité de mesures législatives pour introduire davantage de diversité.
A Mme Lucette Michaux-Chevry qui jugeait préférable, pour des raisons de neutralité eu égard à l'objet de la mission, de choisir un président ainsi qu'un rapporteur métropolitains, M. Jean-Pierre Bel a réaffirmé, au nom du groupe socialiste, le choix de M. Serge Larcher, sénateur de la Martinique, comme candidat à la présidence de la mission.
Concédant ce point, M. Jean-Pierre Bel a néanmoins déploré ce qu'il a estimé être le caractère discrétionnaire de la désignation des rapporteurs.
a considéré, en préambule, que cette nomination posait une question de principe qui dépassait la seule commission des affaires économiques. En effet, il lui paraissait logique que la décision de la conférence des présidents de donner aux groupes politiques un « droit de tirage » sur l'ordre du jour réservé du Sénat conduise, pour les textes ins...
a souhaité savoir si la CGT avait obtenu, de la part du ministre en charge du secteur de l'énergie lors de la discussion en 2004 de la loi de programmation, l'engagement de ne pas privatiser GDF et de ne pas réduire la participation de l'Etat à moins de 70 % du capital du groupe.
a tout d'abord déclaré que la situation des pays, notamment dans la région Midi-Pyrénées, suscitait de légitimes inquiétudes et tranchait avec l'approche quelque peu optimiste des conclusions du rapporteur. Les pays, a-t-il ajouté, ont suscité un véritable espoir, en accordant notamment une place essentielle aux acteurs locaux du territoire, no...