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Le jour même, le président de la Société des pétroles Shell déclarait que seuls étaient acquis 10 millions d'euros. Le reste est attendu sous forme de commandes si les travaux de redémarrage s’effectuent correctement. Il a également annoncé un contrat de processing d’une durée de six mois maximum. Monsieur le ministre, j’y insiste, quel...
Nous voterons la proposition de loi, comme Martial Bourquin et moi-même l’avions indiqué, mais la réponse de M. le garde des sceaux m’a laissé sur ma faim. Par conséquent, le flou du débat d’hier soir à l’Assemblée nationale concernant le problème des obligations sociales n’a pas été dissipé.
Ma question était pourtant simple : les obligations légales et contractuelles, comme l’a dit hier François Guégot, reprennent-elles les droits acquis des salariés ? Les représentants de l’intersyndicale présents en tribune aimeraient être fixés.
J’ai été profondément choqué par l’intervention de Mme Morin-Desailly, qui a mis en cause notre collègue Alain Le Vern, que j’ai cité dans mon intervention.
Afin que, tous, vous connaissiez la situation, mes chers collègues, sachez qu’il est actuellement à l’hôpital de Rouen, où il se remet d’une fracture du bassin. Chacun comprendra donc qu’il ne pouvait être présent ce matin. Soyez assurés que, s’il avait été en bonne santé, il serait venu.
J’ai trouvé cette intervention indigne de vous, ma chère collègue !
C’est un expert qui parle !
Elles le font déjà !
Au demeurant, les arguments motivant le vote de cette motion tendant à opposer la question préalable ont été parfaitement présentés par Mme la rapporteure générale et par François Marc. Si j’interviens à cet instant du débat, c’est parce que, par certains de vos propos, madame la ministre, chers collègues de l’opposition sénatoriale, vous avez...
… sous prétexte que nous ne souscrivions pas au projet de budget présenté par le Gouvernement et adopté par l’Assemblée nationale. Ayant siégé dans ce même hémicycle entre 1997 et 2002, je ferai un bref rappel, parlant sous le contrôle de M. Marini, qui était alors rapporteur général du budget.
À l’époque, la majorité du Sénat était de droite. Quel sort croyez-vous qu’elle réservait aux projets de budget présentés par le Gouvernement Jospin et adoptés par la majorité de gauche de l’Assemblée nationale ?
Deux années de suite, la droite, au Sénat, a présenté un « contre-budget », pour reprendre le terme employé alors. Il s’agissait non pas d’améliorer le texte, mais d’en proposer un autre.
M. Marc Massion. Mes chers collègues, la démocratie permet l’expression de deux logiques : nous avons chacun la nôtre. Nous l’avons répété au cours des 130 heures de débat, la majorité de gauche au Sénat n’entend pas faire la même politique que vous. Nous sommes ainsi un certain nombre à regretter que nos amendements n’aient pas été davantage p...
Au demeurant, les arguments motivant le vote de cette motion tendant à opposer la question préalable ont été parfaitement présentés par Mme la rapporteure générale et par François Marc. Si j'interviens à cet instant du débat, c'est parce que, par certains de vos propos, madame la ministre, chers collègues de l'opposition sénatoriale, vous avez...
… sous prétexte que nous ne souscrivions pas au projet de budget présenté par le Gouvernement et adopté par l'Assemblée nationale. Ayant siégé dans ce même hémicycle entre 1997 et 2002, je ferai un bref rappel, parlant sous le contrôle de M. Marini, qui était alors rapporteur général du budget.
À l'époque, la majorité du Sénat était de droite. Quel sort croyez-vous qu'elle réservait aux projets de budget présentés par le Gouvernement Jospin et adoptés par la majorité de gauche de l'Assemblée nationale ?
Deux années de suite, la droite, au Sénat, a présenté un « contre-budget », pour reprendre le terme employé alors. Il s'agissait non pas d'améliorer le texte, mais d'en proposer un autre.
M. Marc Massion. Mes chers collègues, la démocratie permet l'expression de deux logiques : nous avons chacun la nôtre. Nous l'avons répété au cours des 130 heures de débat, la majorité de gauche au Sénat n'entend pas faire la même politique que vous. Nous sommes ainsi un certain nombre à regretter que nos amendements n'aient pas été davantage p...
En dépit de la croissance continue du transport maritime, qui représente 90 % des échanges mondiaux, à peine plus d’un conteneur sur trois importés en France transite par nos ports. Alors que la France possède la plus grande façade maritime d’Europe et que sa situation géographique centrale devrait lui permettre d’être la première plateforme m...
Le Gouvernement a déjà proposé de réfléchir, en discutant le cas échéant avec les Anglais, à d’autres sources de financement, notamment pour ce qui concerne ces bureaux. Qu’en est-il aujourd’hui ? Nous ne constatons malheureusement aucune avancée, alors que les dépenses de sûreté portuaire grèvent le budget des régions concernées. C’est la ra...