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C’est mal parti !
Quelle langue de bois !
Ça ne sert à rien, un ministre de l’économie qui parle ainsi !
Mme Marie-Hélène Des Esgaulx. Au moins, un ministre du budget, on sait à quoi ça sert !
C’est pour cela que vous les renvoyez ?
Vous devriez nous remercier !
Le ministre de l’économie et des finances n’a fait qu’un petit tour ce matin au Sénat, traitant cette assemblée et le débat du projet de loi de finances avec beaucoup de légèreté. Monsieur le ministre chargé du budget, je regrette d’autant plus son absence que les critiques que je vais formuler s’adressent davantage à lui qu’à vous-même. Je dép...
Ce que constate néanmoins très clairement l’agence, c’est que l’approche économique et fiscale du Gouvernement ne permet pas d’augmenter substantiellement les perspectives de croissance de moyen terme après des hausses de fiscalité sans baisse significative de la dépense publique. Elle signale aussi que la politique menée depuis le mois de nov...
… il serait certainement plus constructif de considérer cette dégradation de la note française comme un nouvel avertissement, après les réserves formulées à l’égard de votre politique économique par le FMI, l’OCDE et la Commission européenne. Il y a là une convergence d’analyses qui devrait au moins vous faire douter du bien-fondé de certains ...
Quand nous proposerez-vous une politique économique lisible et cohérente ? Telle n’est malheureusement pas la perspective qu’offre le projet de loi de finances pour 2014 dont nous entamons aujourd’hui la discussion et qui provoque dans nos rangs de vives inquiétudes. Je traiterai d’abord d’une question de méthode. Comme l’an passé, nous disc...
Notre pays a besoin d’une vraie politique de compétitivité et de baisse de charges pour ses entreprises, comme l’a conseillé M. Gallois, d’ailleurs. Notre pays a besoin de dynamiser sa croissance potentielle et de réduire sa dette publique, alors que celle-ci devrait atteindre un record en 2014 et s’élever à 95, 1 % du PIB, selon vos chiffres,...
C’est la cacophonie fiscale ! Certes, les déficits ne dérapent pas dans les prévisions que vous faites, mais, aujourd’hui, nous sommes au bout de l’impasse : l’argent ne rentre pas dans les caisses et il n’y a pas de quoi boucher les trous. Ce constat est d'ailleurs confirmé par le projet de loi de finances rectificative, dont j’ai pris rapide...
Et les recettes qui ne rentrent pas ? Vous n’en parlez pas. C’est tout de même important !
La loi de finances rectificative le montre !
Mais vous ne l’étiez pas ! Vous avez donc changé d’avis !
S’il manque 11, 2 milliards d’euros, l’élasticité est vraiment importante !
Nous avions prévu 200 millions d’euros !
Je n’ai pas dit cela. J’ai dit qu’il manquait 11, 2 milliards d’euros.
Cette critique est insensée ! C’est vous qui en profitez, car vous les avez dans les caisses. Et vous n’êtes même pas capables de faire en sorte que cela suffise !
Surtout quand elle ne sert à rien !