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« L’élection …a lieu » !
Oui, mais si cela ne concerne pas le bureau, cela concernera quoi ?
Très bien !
Ça, c’est vous qui le dites !
Oui !
C’est pourquoi il est précisé dans l’amendement : « en s’efforçant » !
Monsieur le président, quelle que soit l’estime que j’éprouve pour mes collègues qui viennent d’intervenir – et Philippe Dallier sait très bien que nous sommes très souvent en harmonie sur bien d’autres sujets –, je regrette la tournure que prend ce débat. Venons-en au fond. D’abord, chaque assemblée s’organise comme elle l’entend !
Si tel n’était pas le cas, la Constitution l’aurait spécifié.
Les députés ont fixé, depuis fort longtemps d’ailleurs, le nombre de vice-présidents, de questeurs et de secrétaires qui leur convenait.
Si aujourd’hui nous faisons un choix différent, c’est parce que nous sommes libres de décider ce qui nous convient et nous ne sommes pas à la remorque ni aux ordres de l’Assemblée nationale. Au demeurant, lorsque, au moment de la révision constitutionnelle, il est apparu que les Français de l’étranger seraient désormais représentés à l’Assembl...
Cette discordance, mon cher collègue et ami, aurait justifié d’autres protestations que celles que nous entendons aujourd’hui !
J’en ai assez que l’on passe son temps à vanter les prétendues vertus de l’Assemblée nationale et que l’on reproche au Sénat ses non moins prétendues turpitudes. Il est souvent question de transparence ; mais nous avons publié nos comptes bien avant l’Assemblée nationale ! Nous n’avons jamais rien eu à cacher ! Bien sûr, si les journalistes son...
M. Michel Charasse. Le Sénat vivrait sans doute très mal le fait que son président nouvellement élu et installé subisse dès aujourd’hui un camouflet de la part de sa propre majorité sur une question somme toute assez accessoire !
Exactement !
Ah oui !
Mais ils ne s’occupent plus des comptes des petites communes !
Les assemblées sont souveraines !
On nous refait le coup de l’arbitrage !
M. Michel Charasse. Et encore, on ne dit pas tout !
Monsieur le président, monsieur le secrétaire d'État, mes chers collègues, en tant qu’ancien praticien de ce sujet, je voudrais me réjouir des dispositions sur lesquelles les assemblées sont parvenues à un accord en ce qui concerne l’article 9, et en particulier de la manière dont on met un terme à une anomalie. Lorsque j’exerçais des fonction...