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Ébloui !
Il s’agit du dernier amendement concernant l’affectation des dividendes et la rémunération des salariés. Le problème en cause est important et douloureux pour ceux qui le vivent puisqu’il s’agit du chômage partiel. La financiarisation excessive qui a dominé au cours des vingt à vingt-cinq dernières années entraîne aujourd’hui une crise sans p...
Le dernier amendement de cette série me paraît tout de même singulièrement adapté à la période que nous vivons puisqu’il vise l’indemnisation du chômage partiel et les contreparties à exiger des entreprises qui recevront un « coup de pouce » de la part de l’État. Je note tout de même que la majorité et le Gouvernement font preuve d’un grand co...
Bien sûr !
Pas « un peu » : c’est la dette de l’État !
Ce serait un échec !
Pour un euro !
On est mieux que dans le plan de relance !
Mme Nicole Bricq. Vous entendez, monsieur Dallier ?
Mme Nicole Bricq. C’est normal !
Qu’on la supprime, cette convention !
Ce matin, nous avons achevé nos travaux par le vote de l’amendement n° 18, que nous avons présenté avant celui de M. Dallier. Cet amendement visait à simplifier le mécanisme du FCTVA, à permettre l’attribution des fonds pour les dépenses effectuées au titre de l’année en cours et à l’appliquer à l’ensemble des collectivités de manière juste, p...
Si !
Lorsque cet amendement a été retiré, j’avais émis le souhait de le reprendre, mais vous ne m’avez pas vue, monsieur le président. Aussi, je le reprends. Notre collègue M. Nègre avait déposé cet amendement afin que bénéficient également du dispositif de remboursement accéléré de la TVA les communautés urbaines issues de la transformation de com...
L’amendement n° 18 est, pour mon groupe, un amendement de principe, et je souhaite revenir sur les arguments qui ont conduit le rapporteur général et Gouvernement à y être défavorables. Le premier argument consiste à dire que cet amendement viserait à faire sauter la conditionnalité. Nous savons que les collectivités locales ont porté leur ef...
Bien sûr !
Eh non !
Il faut le faire maintenant !
Il n’y en aura pas beaucoup !
Il n’y a vraiment pas de quoi applaudir !